La baisse du trafic aérien s’est accentuée en mars. Et le recul est alarmant : -74 % sur un an, et – 85% par rapport à 2020 à la même période.
Transit inclus, le site a accueilli le mois dernier, à peine 42.000 passagers, conséquence de l’instauration des motifs impérieux, et du durcissement des mesures préventives sanitaires, sur la liaison transatlantique.
La plongée est vertigineuse entre Paris et Pointe à Pitre. Le réseau régional est également impacté. Le trafic à destination, et en provenance des îles du Nord, de la Martinique et de la Guyane a subi une chute de 70%. Là aussi, à cause des restrictions.
Quant à l’activité entre la Guadeloupe, l’Amérique du Nord, et les autres îles de la Caraïbe, elle est tout simplement à l’arrêt en raison des fermetures de frontières décidées en vigueur dans ces territoires. Un marché initial de quelques 32.000 passagers.
De même, situation au point mort avec le reste de l’Europe, la croisière étant toujours à quai.