L’UGTG veut une action pénale dans le dossier Agrexam. La structure a été liquidée. le syndicat affirme que cette liquidation a été faite pour ne pas indemnisé un salarié injustement licencié
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Il y a 15 jours, l’association qui géraient les 5 centres de santé pour les personnes défavorisés de Guadeloupe a été liquidée. Pour expliquer sa demande de dépôt de bilan, la direction de l’association avait mis en avant l’importance des indemnités qu’elle avait été condamnée à payer à un salarié licencié.
Avec la décision du tribunal de commerce du mois dernier, les 17 salariés se sont donc retrouvés sur le carreau et les 6500 patients qui y avaient recours sans solution de bilan de santé et de soin. Ils ont fait appel de cette décision lundi.
Mais hier, l’affaire à pris une toute autre tournure. L’UTS/UGTG passe au stade de l’action pénale. Le syndicat a alerté le procureur sur des soupçons d’abus de confiance, abus de bien sociaux et détournement de fonds publics. En ouvrant les comptes de l’association, il a trouvé des éléments suspect.
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Avec la décision du tribunal de commerce du mois dernier, les 17 salariés se sont donc retrouvés sur le carreau et les 6500 patients qui y avaient recours sans solution de bilan de santé et de soin. Ils ont fait appel de cette décision lundi.
Mais hier, l’affaire à pris une toute autre tournure. L’UTS/UGTG passe au stade de l’action pénale. Le syndicat a alerté le procureur sur des soupçons d’abus de confiance, abus de bien sociaux et détournement de fonds publics. En ouvrant les comptes de l’association, il a trouvé des éléments suspect.
Claudine Maraton, secrétaire général de l’UTS UGT