il y a quelques jours, la campagne d'affiche publicitaire de la Générale des Eaux disait : "je suis responsable, je paie mon eau". Des mots qui ont touché certains usagers qui eux, paient sans être correctement desservis. Et les causes sont multiples mais eux vivent sans eau courante
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La campagne de la Générale des Eaux ne sera pas passée inaperçue et, pas forcément dans le sens que ses initiateurs l'avaient souhaité au départ. Les mots choisis ont souvent été très mal accueillis par les usagers, et particulièrement, par ceux qui paient régulièrement pour un service qui ne leur est pas rendu.
Dans plusieurs communes de l'archipel guadeloupéen, l'eau n'arrive pas jusqu'au robinet alors même que la facture elle arrive jusqu'à la boîte aux lettres. En cause, des canalisations défectueuses, des constructions faites souvent en hauteur sans qu'un surpresseur n'ait été installé pour acheminer l'eau chez tous les riverains, des investissements non faits pour certaines urgences... Les causes ne manquent pas à l'inverse des décisions.
Et tandis que les politiques se déchirent en se renvoyant la balle des responsabilités, les usagers passent de désappointements en déconvenues.
Et "l'île aux belles eaux" continuent d'assoiffer plusieurs de ses habitants.
VOIR :
Dans plusieurs communes de l'archipel guadeloupéen, l'eau n'arrive pas jusqu'au robinet alors même que la facture elle arrive jusqu'à la boîte aux lettres. En cause, des canalisations défectueuses, des constructions faites souvent en hauteur sans qu'un surpresseur n'ait été installé pour acheminer l'eau chez tous les riverains, des investissements non faits pour certaines urgences... Les causes ne manquent pas à l'inverse des décisions.
Et tandis que les politiques se déchirent en se renvoyant la balle des responsabilités, les usagers passent de désappointements en déconvenues.
Et "l'île aux belles eaux" continuent d'assoiffer plusieurs de ses habitants.
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