Son titre "Another love song" tourne sur les radios, son clip a été vu plus de 41 665 fois, il est nommé aux Lindor dans la catégorie "Révélation de l'année", à 22 ans le jeune Gunzy semble être la nouvelle voix émergente du dancehall guyanais.
Il chante en anglais, porte de belles locks et a des allures de chanteurs jamaicains, et pourtant les apparences sont trompeuses... Gunzy est bien un artiste "made in" Guyane.
Gunzy évolue dans l'univers musical depuis l'enfance. Accompagné de sa mère, il monte sur scène dès son plus jeune âge, aussi bien sur les planches du Zéphyr que face aux caméras de RFO (ancien guyane 1ère). Si au début le chant est un loisir, c'est en 2011 que les "choses sérieuses" commencent. Avec quelques amis de quartier, il monte un groupe. S'il se déclare avant tout chanteur de hip hop, il avoue s'être peu à peu converti au dancehall:"Je fais de la musique urbaine. A la base je suis un chanteur de rap et hip hop. Nous vivons dans un univers antillo-guyanais où on sait que le reggae dancehall prime. Mon 1er public c'est la Guyane donc je préfère m'adapter à cela, même si vivant en métropole j'essaye de voir également s'il n'y a pas d'ouverture avec le hip hop" confie-t-il. Un artiste éclectique, ouvert à différents horizons musicaux et surtout qui a l'ambition de faire voyager sa musique encore plus loin...
A 18 ans, il part à Miami durant 3 mois pour développer son art et commencer à toucher son rêve du bout des doigts:"J'avais le rêve américain. D'ailleurs je ne chante qu'en anglais car je vise une carrière internationale. Ce n'est pas pour autant que je néglige mon appartenance à la Guyane. Si pour l'instant je ne chante pas en créole c'est parce que j'essaye de me faire connaitre avant. Même si tout le monde ne comprend pas l'anglais, mais si le son est bon les gens "secouent" la tête pour montrer qu'ils apprécient" explique l'artiste. Un choix qui semble porter ses fruits avec un clip vu plus de 41 665 fois et une nomination au Lindor en tant que "Révélation de l'année".
Alors rendez-vous samedi 27 septembre à 20h00 au Zéphyr pour savoir si la voix émergente du dancehall décrochera sa première étoile...
Du hip hop au dancehall
Gunzy évolue dans l'univers musical depuis l'enfance. Accompagné de sa mère, il monte sur scène dès son plus jeune âge, aussi bien sur les planches du Zéphyr que face aux caméras de RFO (ancien guyane 1ère). Si au début le chant est un loisir, c'est en 2011 que les "choses sérieuses" commencent. Avec quelques amis de quartier, il monte un groupe. S'il se déclare avant tout chanteur de hip hop, il avoue s'être peu à peu converti au dancehall:"Je fais de la musique urbaine. A la base je suis un chanteur de rap et hip hop. Nous vivons dans un univers antillo-guyanais où on sait que le reggae dancehall prime. Mon 1er public c'est la Guyane donc je préfère m'adapter à cela, même si vivant en métropole j'essaye de voir également s'il n'y a pas d'ouverture avec le hip hop" confie-t-il. Un artiste éclectique, ouvert à différents horizons musicaux et surtout qui a l'ambition de faire voyager sa musique encore plus loin...
The american dream
A 18 ans, il part à Miami durant 3 mois pour développer son art et commencer à toucher son rêve du bout des doigts:"J'avais le rêve américain. D'ailleurs je ne chante qu'en anglais car je vise une carrière internationale. Ce n'est pas pour autant que je néglige mon appartenance à la Guyane. Si pour l'instant je ne chante pas en créole c'est parce que j'essaye de me faire connaitre avant. Même si tout le monde ne comprend pas l'anglais, mais si le son est bon les gens "secouent" la tête pour montrer qu'ils apprécient" explique l'artiste. Un choix qui semble porter ses fruits avec un clip vu plus de 41 665 fois et une nomination au Lindor en tant que "Révélation de l'année". Entre reconnaissance et humilité
Face au succès de son titre "Another love song", le jeune guyanais figurera au banc des nominés lors de la cérémonie des Lindor à la fin du mois. Un début de reconnaissance qui ne le laisse pas indifférent:" J'ai toujours rêvé d'être récompensé pour mon travail. C'est un beau clin d'oeil, ça fait plaisir. J'aurai aimé remporter le Lindor, mais je sais que j'ai un adversaire redoutable: Lova Jah. Si c'est lui qui le remporte je serai quand même content pour lui car il le mérite" avoue-t-il humblement.Alors rendez-vous samedi 27 septembre à 20h00 au Zéphyr pour savoir si la voix émergente du dancehall décrochera sa première étoile...