Alors que de nombreuses voix s'élèvent pour s'opposer à l'autorisation d'exploitation minière accordée à la société Rexma près du bourg de Saül, le Medef souhaite que le projet aille jusqu'à son terme.
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Après la fédération des opérateurs miniers de Guyane, c'est le deuxième soutien apporté à la société Rexma.
Le Medef affirme que la décision du gouvernement est une chance pour l’économie de toute la Guyane et en particulier pour l’emploi à Saül.
Pour l’organisation patronale, toutes les conditions sont réunies et surtout la Rexma a apporté des garanties sur le respect des règlements surtout sur le plan environnemental. L’autorisation répond donc à une logique. Ainsi sont balayées toutes les accusations d’illégalité liées à ce permis d’exploitation.
Les patrons guyanais n’approuvent donc pas du tout les voix contestataires qui se sont fait entendre ces dernières semaines et qu’ils rassemblent dans des mouvances écologistes minoritaires qui font obstinément obstacle à tout avenir pour la Guyane.
Le Medef se place : « dans la majorité silencieuse de la population guyanaise qui aspire à une économie viable dans le respect de la faune et de la flore ».
Le Medef affirme que la décision du gouvernement est une chance pour l’économie de toute la Guyane et en particulier pour l’emploi à Saül.
Pour l’organisation patronale, toutes les conditions sont réunies et surtout la Rexma a apporté des garanties sur le respect des règlements surtout sur le plan environnemental. L’autorisation répond donc à une logique. Ainsi sont balayées toutes les accusations d’illégalité liées à ce permis d’exploitation.
Le Medef aspire à une économie d’orpaillage légale et viable
Le Medef se dit même réconforté par le fait qu’une entreprise pourra en toute légalité et transparence faire bénéficier la Guyane de son potentiel alors que l’or est pillé méthodiquement par des orpailleurs clandestins.Les patrons guyanais n’approuvent donc pas du tout les voix contestataires qui se sont fait entendre ces dernières semaines et qu’ils rassemblent dans des mouvances écologistes minoritaires qui font obstinément obstacle à tout avenir pour la Guyane.
Le Medef se place : « dans la majorité silencieuse de la population guyanaise qui aspire à une économie viable dans le respect de la faune et de la flore ».