Attendue depuis des mois, la saison des pluies a enfin fait son apparition, mais les fortes pluies de ces derniers jours ne font pas que des heureux. Dans la nuit de dimanche à lundi plusieurs quartiers de Saint-Laurent ont été inondés sans que puissent réagir les habitants.
En périphérie ou en plein centre ville des habitations ont été envahies par les eaux durant la nuit à Saint-Laurent du Maroni. Un phénomène qui a surprit les habitants dans leur sommeil. Certains ont constatés les dégâts à leur réveil.
138 mml d'eau sont tombés à Saint-Laurent durant ce laps de temps, une pluviométrie qui ne présente rien d'exceptionnel pour la saison et pourtant cela a provoqué des inondations que les habitants n'ont pu anticiper. Dans un quartier, il semblerait que le canal adjacent non curé n'ait pas permis l'évacuation des eaux. Pour le propriétaire du terrain, les locataires doivent faire le nécessaire auprès des services municipaux pour obtenir le curage. Pour d'autres en centre ville, les inondations sont récurrentes chaque année sans qu'il y ait d'interventions de la mairie.
Les pluies ont également provoqué des dégâts dans l'état du Parà au Brésil, dans la capitale Bèlem. En Guyane, la population tout comme les pouvoirs publics savent qu'il faut se méfier des conjonctions fortes marées et fortes pluies toujours synonymes de montées des eaux. Dans certaines communes, les grands canaux ont été curés ces dernières semaines.
Reportage Marc-Philippe Coumba et Yves Robin
138 mml d'eau sont tombés à Saint-Laurent durant ce laps de temps, une pluviométrie qui ne présente rien d'exceptionnel pour la saison et pourtant cela a provoqué des inondations que les habitants n'ont pu anticiper. Dans un quartier, il semblerait que le canal adjacent non curé n'ait pas permis l'évacuation des eaux. Pour le propriétaire du terrain, les locataires doivent faire le nécessaire auprès des services municipaux pour obtenir le curage. Pour d'autres en centre ville, les inondations sont récurrentes chaque année sans qu'il y ait d'interventions de la mairie.
Les pluies ont également provoqué des dégâts dans l'état du Parà au Brésil, dans la capitale Bèlem. En Guyane, la population tout comme les pouvoirs publics savent qu'il faut se méfier des conjonctions fortes marées et fortes pluies toujours synonymes de montées des eaux. Dans certaines communes, les grands canaux ont été curés ces dernières semaines.
Reportage Marc-Philippe Coumba et Yves Robin