[vidéo]L'enseignement catholique se réorganise à Saint-Laurent

Equipe pédagogique de l'enseignement catholique de Saint-Laurent en formation
A Saint-Laurent du Maroni, l'enseignement catholique se réorganise Pour cette rentrée 2013/2014, l’offre de l'enseignement privé s'étoffe de nouvelles formations et de plus de places sur un site unique. De l'école primaire au lycée, les cours sont désormais dispensés sur un même lieu.
Partout dans l'enceinte de l'établissement scolaire, des ouvriers, des électriciens s'affairent pour terminer à temps le chantier. Construit l’an dernier, cet ensemble scolaire catholique a été déplacé de la rue Milien pour être implanté sur un terrain de plus de 11 hectares, juste à côté de l’école primaire St-Jean-Baptiste de la Salle dans le quartier des Vampires. 
Pour cette nouvelle année scolaire, l’une des premières grandes orientations de l’enseignement catholique à St-Laurent du Maroni est le regroupement des établissements scolaires.

L'offre de scolarisation s'élargit

Dès la rentrée 300 enfants seront scolarisés. 125 a l’école Saintt-Jean-Baptiste de la Salle du CP au CM2 et plus de 150 juste à côté dans cet ensemble scolaire catholique qui fait donc collège et lycée. A terme, les responsables envisagent la création d’un campus scolaire de l’enseignement catholique sur ce site.
Mais déjà ce complexe permettra de développer considérablement l’enseignement agricole, dans une zone ou l’on enregistre le plus d’exploitants agricoles. L'équipe pédagogique se met en en place, les 7 professeurs en postes sont en formation en ce moment. L'accent est mis sur le projet d’établissement, sur la pédagogie spécifique liée à l'environnement et rattachée à la réalité du terrain. Une partie de la formation est axée sur l’autorité des professeurs.
Un cadre, un environnement et un état d’esprit qui offrent des conditions satisfaisantes d'exercice professionnel pour les professeurs.
dans ce nouveau complexe de l’enseignement catholique, la rentrée est prévue comme partout en Guyane, le 2 septembre prochain.

Reportage Marc-Philippe Coumba et Yves Robin

©INA