Un bébé d'un an a perdu la vie la semaine dernière lors d'un tragique accident de la route. Un drame qui met en avant la vulnérabilité des enfants lors des transports qui doivent être protégés avec des fauteuils, des réhausseurs et des ceintures.
Il n'est pas rare d'observer des comportements à risque sur les route de Guyane en ce qui concerne la sécurité des enfants. Certains ne sont pas attachés, d'autres présents sur la place passager à l'avant ou encore debout sur des scooters sans casque. Mais depuis 2003 la loi est formelle, les conducteurs sont responsables des mineurs qu'ils transportent.
Une exception existe cependant : un bébé peut être mis à l'avant si il est installé dans un système de sécurité dos à la route. Dans ce dernier cas il faut désactiver l'air bag.
Les conducteurs qui n'attachent pas convenablement les mineurs qu'ils transportent sont pénalisable d'une amende de 130 euros.
Reportage Alexandra Silbert et Anthony Hilaire
Des conditions de sécurité obligatoires
Lors d'un accident à 50km/h un enfant de 20 kilos qui n'est pas attaché se transforme en un projectile de 500 kilos. C'est pourquoi il existe des dispositifs pour adapter la ceinture de sécurité à la morphologie des jeunes passagers. Ces derniers doivent obligatoirement être à l'arrière jusqu'à l'âge de dix ans et être assis dans des sièges ou réhausseurs en fonction de leur taille et poids.Une exception existe cependant : un bébé peut être mis à l'avant si il est installé dans un système de sécurité dos à la route. Dans ce dernier cas il faut désactiver l'air bag.
Les conducteurs qui n'attachent pas convenablement les mineurs qu'ils transportent sont pénalisable d'une amende de 130 euros.
Reportage Alexandra Silbert et Anthony Hilaire