Il en est question depuis des années et le projet de remplacer le bac "La Gabrielle" pour effectuer la traversée du Maroni vers le Surinam prend forme. Il devrait constituer un des premiers actes de la coopération entre la Guyane et le Surinam.
Le bac "la Gabrielle" qui effectue le transports de passagers entre la Guyane et le Surinam devrait être remplacé d'ici 2 ans. Le projet prend forme, il a été l'objet de rencontres et d'une réunion de travail, la semaine dernière au ministère des affaires étrangères à Paramaribo.
Le but est d'organiser une co gestion à l'exemple de ce qui se pratique entre le Surinam et le Guyana.
La capacité de transport devrait être multipliée par cinq. Ce ferry pourra transporter jusqu'à 80 personnes, une vingtaine de véhicules, 4 semi-remorques. Cela répondra à la fréquentation en constante augmentation. Le trafic de "La Gabrielle" a augmenté de 22% en 2013 et plus de 30 000 visas ont été délivrés par le consulat du Surinam.
Une seconde séance de concertation est prévue dans deux semaines à Cayenne, Il sera question de la gouvernance, de l'exploitation, de la gestion et de l'entretien.
Le reportage de Marc Philippe Coumba et Yves Robin
Multiplier par cinq la capacité de transport
Ce nouveau bâtiment nautique devrait être réalisé en Europe et acheminé au Surinam pour être monté sur place. L'expérience en la matière est reconnue au Surinam qui avant la guerre civile de 1986 assurait les rotations entre les deux pays.Le but est d'organiser une co gestion à l'exemple de ce qui se pratique entre le Surinam et le Guyana.
La capacité de transport devrait être multipliée par cinq. Ce ferry pourra transporter jusqu'à 80 personnes, une vingtaine de véhicules, 4 semi-remorques. Cela répondra à la fréquentation en constante augmentation. Le trafic de "La Gabrielle" a augmenté de 22% en 2013 et plus de 30 000 visas ont été délivrés par le consulat du Surinam.
Une seconde séance de concertation est prévue dans deux semaines à Cayenne, Il sera question de la gouvernance, de l'exploitation, de la gestion et de l'entretien.
Le reportage de Marc Philippe Coumba et Yves Robin