Une exposition visible à l’espace culturel « La Poudrière » à Cayenne s’intitule "contre-sens". Elle est signée de l’artiste Guillaume Legal qui fait le choix d’interpeller les consciences par des installations et un concept novateur : La contre-culture.
Pour son exposition, L’artiste Guillaume Legal a privilégié la qualité à la quantité. C’est à travers seulement six installations qu’il a décidé de partager sa vision de la société, une conception toujours à contre courant.
Guillaume Legal : « J’ai choisi "contre-sens" pour titre, parce que il y a une référence à la contre-culture, je veux interpeller par la contradiction »
La contre-culture définie comme étant un courant en opposition à la culture prédominante dans notre société est au cœur de la cinquième exposition en Guyane de l’artiste. Un concept vaste, difficile à expliquer, que l’artiste tente de vulgariser à travers une œuvre en particulier. Il s’agit d’une installation pointant du doigt la pression sociale qui incite à suivre la culture dominante : l’industrialisation.
Six installations, mais beaucoup d’informations et pour enfoncer le clou l’artiste a prévu une septième œuvre qui sera présentée au public le dernier jour de l’exposition, le 31 mai. Appelé le nuage de la contrainte, elle devrait continuer à dénoncer la pression sociale et ses dérives.
Le reportage de Flore Vigneron
Guillaume Legal : « J’ai choisi "contre-sens" pour titre, parce que il y a une référence à la contre-culture, je veux interpeller par la contradiction »
La contre-culture définie comme étant un courant en opposition à la culture prédominante dans notre société est au cœur de la cinquième exposition en Guyane de l’artiste. Un concept vaste, difficile à expliquer, que l’artiste tente de vulgariser à travers une œuvre en particulier. Il s’agit d’une installation pointant du doigt la pression sociale qui incite à suivre la culture dominante : l’industrialisation.
Six installations, mais beaucoup d’informations et pour enfoncer le clou l’artiste a prévu une septième œuvre qui sera présentée au public le dernier jour de l’exposition, le 31 mai. Appelé le nuage de la contrainte, elle devrait continuer à dénoncer la pression sociale et ses dérives.
Le reportage de Flore Vigneron
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