A 17h, les Bleus rencontreront l’Equateur au Maracaña, pour leur dernier match de poule. Focus sur la ville du carnaval et de la fête : Rio de Janeiro.
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Située à 3.254 kilomètres de Cayenne, Rio de Janeiro incarne, dans l’imaginaire commun, toute l'exubérance du Brésil. S’étendant sous la statue du Christ Rédempteur au sommet du Corcovado, Rio est la ville carioca par excellence, entre son carnaval et ses plages de Copacabana et d’Ipanema.
Par ses monuments, Rio fait coexister l’architecture coloniale, rappelant une époque révolue, et de grands immeubles, symboles de la modernité. 20% de la population locale habite dans des favelas, bidonvilles abritant la population la plus pauvre. La Coupe du Monde 2014 puis les Jeux Olympiques 2016 ont pour ambition de participer au désenclavement des favelas dans le paysage urbain de Rio de Janeiro.
Outre le Christ Rédempteur et le Pain de Sucre, les touristes affluent du monde entier pour se rendre dans le temple du football : le stade Maracanã. Inauguré en 1950 pour la Coupe du monde au Brésil, ce stade légendaire accueillera l'affrontement entre la France et l’Equateur à 17h, en direct sur Guyane1ère.
En 1887, 20.000 anciens combattants de la guerre de Canudos sont relogés près de la "colline des Favela". La première favela est née.
Qu'il s'agisse de Dona Marta, Rocinha, Vidigal ou Bento Ribeiro, les favelas de Rio de Janeiro abritent travailleurs pauvres et nouveaux arrivants sans le sou. Théâtres de violence, entre trafic de drogue et guerre des gangs, les favelas de Rio de Janeiro sont néanmoins le berceau d'une culture populaire particulièrement vivante. La samba do enredo y est notamment née.
La ville la plus festive et la plus touristique du Brésil
Siège du pouvoir politique brésilien de 1764 à 1960, Rio de Janeiro demeure la ville la plus touristique du Brésil et l’un de ses poumons culturels. Découverte le 1er janvier 1502 par l’explorateur portugais Gaspar de Lemos, Rio de Janeiro vit, de jour comme de nuit, au rythme de la fête, entre celle du Nouvel An et le carnaval mondialement connu.Par ses monuments, Rio fait coexister l’architecture coloniale, rappelant une époque révolue, et de grands immeubles, symboles de la modernité. 20% de la population locale habite dans des favelas, bidonvilles abritant la population la plus pauvre. La Coupe du Monde 2014 puis les Jeux Olympiques 2016 ont pour ambition de participer au désenclavement des favelas dans le paysage urbain de Rio de Janeiro.
La capitale du football brésilien
Au-delà de la fête et des merveilles architecturales qui l'habillent, Rio de Janeiro se pose en capitale du football brésilien. Quatre clubs légendaires se disputent le cœur des cariocas : Botafogo, Fluminense, Vasco da Gama et Flamengo, incontestablement le club le plus populaire du pays. Le derby entre Flamengo et Fluminense, surnommé « Fla-Flu », est l’une des rencontres les plus électriques au monde.Outre le Christ Rédempteur et le Pain de Sucre, les touristes affluent du monde entier pour se rendre dans le temple du football : le stade Maracanã. Inauguré en 1950 pour la Coupe du monde au Brésil, ce stade légendaire accueillera l'affrontement entre la France et l’Equateur à 17h, en direct sur Guyane1ère.
Rio de Janeiro, la ville aux 968 favelas
Souvent établies sur les pentes escarpées des collines entourant la ville, les favelas caractérisent la ville de Rio de Janeiro.En 1887, 20.000 anciens combattants de la guerre de Canudos sont relogés près de la "colline des Favela". La première favela est née.
Qu'il s'agisse de Dona Marta, Rocinha, Vidigal ou Bento Ribeiro, les favelas de Rio de Janeiro abritent travailleurs pauvres et nouveaux arrivants sans le sou. Théâtres de violence, entre trafic de drogue et guerre des gangs, les favelas de Rio de Janeiro sont néanmoins le berceau d'une culture populaire particulièrement vivante. La samba do enredo y est notamment née.