Un cataclysme. Repoussant les limites de l’entendement, l’Allemagne a humilié le Brésil (7-1), à domicile, et se hisse en finale, pour la huitième fois de leur histoire. Les internautes de Guyane1ère décryptent cette demi-finale de légende.
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Certains matches de football délivrent une saveur unique, qui reste gravée en mémoire. Il y eut ce France-Brésil (3-0) en 1998, ce France-RFA de 1982 (3-3). Il y aura, désormais, ce Brésil-Allemagne (1-7), où la Seleçao a explosé aux yeux du monde.
Müller (11e), puis Klose (23e), Kroos par deux fois (24e, 26e), Khedira (29e) puis Schürrle (69e, 79e) se sont fait maîtres artificiers, tandis que la réduction du score par Oscar (90e) restera une anecdote. Au terme d’un 7-1 aussi unique qu’inattendu, les internautes de Guyane1ère décryptent ce match entré dans la légende.
Par exemple, Kassia Borralho relativise la performance brésilienne depuis le début du Mondial : « Le Brésil est arrivé en quart de finale par chance. L’équipe n’était pas suffisamment forte. Certes, il y a de bons joueurs comme Neymar, mais un match de foot se gagne quand toute une équipe joue et ce ne fût pas le cas du Brésil. »
Andrise Fleuristal abonde dans ce sens, en soulignant que l’absence de Neymar n’y est pour rien dans la débâcle auriverde : « J’espère qu’ils ne vont pas trouver des excuses bidons parce que Neymar n’était pas là ».
Morgane Turlepin tire les conséquences de cette défaite brésilienne : « L’équipe du Brésil n’est plus celle d’il y a quelques années, avec Kaka et Ronaldo. Le Brésil doit se remettre en question, car c’est une énorme déception et humiliation. »
Eliane Fink renchérit : « Les larmes du Brésil nous touchent. Une défaite qui prend le pas sur la victoire dans nos cœurs en tout cas. Beaucoup de fair-play dans les deux camps après le match. Voilà ce que je retiens. »
Nathan Mondika se veut chambreur (« Le match ressemblait à un Allemagne-Geldar »), tandis que Jean-Cyril Flora profite de la performance brésilienne pour saluer l’équipe de France (« La France n’en a pris qu’un seul »).
Au total, et en dépit des émotions provoquées par ce match, Guy Horth énonce la voix de la sagesse : « Je le rappelle, ce n’est que du sport, la vie continue. »
Certes, mais ce matin, quelque chose a changé dans le cœur des passionnés de football.
Müller (11e), puis Klose (23e), Kroos par deux fois (24e, 26e), Khedira (29e) puis Schürrle (69e, 79e) se sont fait maîtres artificiers, tandis que la réduction du score par Oscar (90e) restera une anecdote. Au terme d’un 7-1 aussi unique qu’inattendu, les internautes de Guyane1ère décryptent ce match entré dans la légende.
"J'espère qu'ils ne vont pas trouver des excuses bidons"
À bien des égards, le score du match entre le Brésil et l’Allemagne offre des réactions contrastées. Si tous reconnaissent la supériorité de la Mannschaft, d’aucuns ont des mots sévères envers la Seleçao de Luiz Felipe Scolari.Par exemple, Kassia Borralho relativise la performance brésilienne depuis le début du Mondial : « Le Brésil est arrivé en quart de finale par chance. L’équipe n’était pas suffisamment forte. Certes, il y a de bons joueurs comme Neymar, mais un match de foot se gagne quand toute une équipe joue et ce ne fût pas le cas du Brésil. »
Andrise Fleuristal abonde dans ce sens, en soulignant que l’absence de Neymar n’y est pour rien dans la débâcle auriverde : « J’espère qu’ils ne vont pas trouver des excuses bidons parce que Neymar n’était pas là ».
Morgane Turlepin tire les conséquences de cette défaite brésilienne : « L’équipe du Brésil n’est plus celle d’il y a quelques années, avec Kaka et Ronaldo. Le Brésil doit se remettre en question, car c’est une énorme déception et humiliation. »
"Les larmes du Brésil nous touchent"
Si le choc est palpable, certains font preuve de compassion à l’égard des Brésiliens. C’est le cas de Mariael Tikolibri : « Aucune équipe ne méritait ce genre de score pour un Mondial, j’ai de la peine pour le Brésil, dur à encaisser surtout que c’était à domicile. »Eliane Fink renchérit : « Les larmes du Brésil nous touchent. Une défaite qui prend le pas sur la victoire dans nos cœurs en tout cas. Beaucoup de fair-play dans les deux camps après le match. Voilà ce que je retiens. »
Nathan Mondika se veut chambreur (« Le match ressemblait à un Allemagne-Geldar »), tandis que Jean-Cyril Flora profite de la performance brésilienne pour saluer l’équipe de France (« La France n’en a pris qu’un seul »).
Au total, et en dépit des émotions provoquées par ce match, Guy Horth énonce la voix de la sagesse : « Je le rappelle, ce n’est que du sport, la vie continue. »
Certes, mais ce matin, quelque chose a changé dans le cœur des passionnés de football.