Les écoles de Soula seront fermées jusqu'au mois de janvier. L'origine des émanations de gaz qui ont provoqué des intoxications la semaine dernière n'a toujours pas été trouvée. Parmi les hypothèses avancées, les médecins évoquent la possibilité d'une peur collective.
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Pas d’école à Soula avant le mois de Janvier. Les parents d’élèves ont pris part à une réunion publique avec les autorités ce matin, suite aux odeurs de gaz senties dans ce quartier de Macouria.
La réunion a eu lieu sur place, dans la ZAC en présence du Préfet, du Rectorat et des services de secours. Au programme un état des lieux, des solutions aussi à entreprendre dont la principale : la fermeture du collège Antoine Sylvère Félix , et de l’école élémentaire de la ZAC.
C’est une décision qui a conjointement été prise par le président du Conseil Général, Alain Tien-Long et le Recteur d’académie, Philippe Lacombe.
Alain Tien-Long, l’a dit lui-même « Nous sommes tous là, afin de discuter en toute transparence, pour ne pas qu’il soit dit que nous n’avons rien fait ».
Durant cette séance, les parents inquiets qui ont eu l’opportunité d’exprimer leur totale impuissance face à ces événements. Ils sont sortis de ces deux heures d'échanges, soulagés et rassurés.
L’une des personnes présentes, confie même apprécier le fait d’avoir été écoutée.
Les médecins n’écartent pas la possibilité d’une peur collective, c'est-à-dire d’effets physiques dont les causes seraient psychologiques.
Hypothèse sur laquelle les autorités ne semblent pas vouloir communiquer.
La réunion a eu lieu sur place, dans la ZAC en présence du Préfet, du Rectorat et des services de secours. Au programme un état des lieux, des solutions aussi à entreprendre dont la principale : la fermeture du collège Antoine Sylvère Félix , et de l’école élémentaire de la ZAC.
C’est une décision qui a conjointement été prise par le président du Conseil Général, Alain Tien-Long et le Recteur d’académie, Philippe Lacombe.
Alain Tien-Long, l’a dit lui-même « Nous sommes tous là, afin de discuter en toute transparence, pour ne pas qu’il soit dit que nous n’avons rien fait ».
Durant cette séance, les parents inquiets qui ont eu l’opportunité d’exprimer leur totale impuissance face à ces événements. Ils sont sortis de ces deux heures d'échanges, soulagés et rassurés.
L’une des personnes présentes, confie même apprécier le fait d’avoir été écoutée.
L'origine de ces émanations toujours inconnue
Un seul bémol, il concerne la prise en charge des élèves de la ZAC de Soula. Une mère a demandé une prise en charge des enfants. Mais, tout de même, se pose toujours un gros point d’interrogation sur les origines de ces événements.Les médecins n’écartent pas la possibilité d’une peur collective, c'est-à-dire d’effets physiques dont les causes seraient psychologiques.
Hypothèse sur laquelle les autorités ne semblent pas vouloir communiquer.