Une Marche à l’appel de l’UTG en ce premier mai, une façon de dénoncer le barrage de gendarmerie d'Iracoubo mis en place pour lutter contre l’insécurité, un dispositif contraire au droit de circuler librement, estime l’Union des Travailleurs Guyanais.
Par le passé huit associations, dont la Cimade et la ligue des droits de l’Homme ont déjà dénoncé ce barrage comme étant illégal, car contraire à la liberté de circuler selon ces associations. Plusieurs recours ont été déposés devant le tribunal administratif.
Les précisions d’Apa Mumia Makéba, militant de l’UTG joint par Patrick Clarke