La Commission nationale consultative des droits de l'homme a formulé une quinzaine de recommandations pour sortir les peuples auchtotones de la marginalisation. En Guyane, pour les peuples amérindiens concernés par le dispositif c'est une première avancée qu'il faudra conforter.
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Les amérindiens de Guyane et les kanaks de Nouvelle Calédonie souffrent encore d’une une marginalisation et d’un manque d’accès aux droits. Voilà le constat d’ensemble que déplore la Commission nationale consultative des droits de l’homme
Dans cet avis c’est de la place des peuples autochtones dans les territoires ultramarins français dont il est question . Alors que la France ne les reconnaît pas formellement au motif de préserver le principe d’une République une et indivisible. La Commission préconise d’utiliser le terme « peuple autochtone » plutôt que » populations ». Contrairement à la Nouvelle Calédonie ou l’accord de Nouméa reconnaît la légitimité des revendications Kanaks, en Guyane, la tendance est toujours à l’alignement sur le droit commun.
La commission recommande notamment à la France de ratifier la convention 169 de l’organisation internationale du travail qui reconnaît la propriété collective de la terre et assure une protection aux peuples autochtones.
Une protection qualifiée d’insuffisante contre l’orpaillage illégal en Guyane La commission demande d’ailleurs qu'une surveillance de l'intoxication de l'ensemble des peuples autochtones de l'intérieur soit mise en place.
L'interview d'Alexandre Sommer Schaechtelé, membre de l'Organisation des nations autochtones de Guyane (Onag) par Laurence Tian Sio Po
Utiliser les appellations peuples autochtones plutôt que populations
Dans cet avis c’est de la place des peuples autochtones dans les territoires ultramarins français dont il est question . Alors que la France ne les reconnaît pas formellement au motif de préserver le principe d’une République une et indivisible. La Commission préconise d’utiliser le terme « peuple autochtone » plutôt que » populations ». Contrairement à la Nouvelle Calédonie ou l’accord de Nouméa reconnaît la légitimité des revendications Kanaks, en Guyane, la tendance est toujours à l’alignement sur le droit commun.La commission recommande notamment à la France de ratifier la convention 169 de l’organisation internationale du travail qui reconnaît la propriété collective de la terre et assure une protection aux peuples autochtones.
Une protection qualifiée d’insuffisante contre l’orpaillage illégal en Guyane La commission demande d’ailleurs qu'une surveillance de l'intoxication de l'ensemble des peuples autochtones de l'intérieur soit mise en place.
L'interview d'Alexandre Sommer Schaechtelé, membre de l'Organisation des nations autochtones de Guyane (Onag) par Laurence Tian Sio Po