Le carnaval fédère la population mais ce pan de la tradition guyanaise qui pourrait ête un excellent produit d'appel touristique n'est pas encore selon, les professionnels du tourisme, suffisamment structuré pour en tirer des bénéfices intéressants.
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Le carnaval guyanais, l'un des plus long au monde, est connu et tarde encore à attirer les touristes. Ils sont rares à être motivés et à venir en Guyane à cette période. Les hôtels ne sont pas spécialement remplis, ils continuent d'accueillir la clientèle d'affaires et ont ainsi, un taux de fréquentation normal. Par contre les loueurs de voitures vivent eux une belle saison ainsi que les restaurateurs.
Pour les voyagistes, la saison carnavalesque pourrait être beaucoup rentable, s'il y avait une structuration de l'ensemble de la chaîne touristique autour du carnval. Il faut concevoir un produit spécifiquement pour les touristes afin qu'ils soient pris en charge du début à la fin de leur séjour aussi bien sur le plan logistique, culturel et de l'amusement.
Selon le président de l'Union syndicale des opérateurs touristiques de la Guyane, Jean-Luc Lewest, tous les ingrédients sont en place : le transport aérien, l'accueil hôtelier, les excursions comme le spectacle carnavalesque, il reste à les mailler.
Le Comité du Tourisme annonce que la donne pourrait changer dès 2018.
Le reportage de Clotilde Séraphins et Claude Djani
Pour les voyagistes, la saison carnavalesque pourrait être beaucoup rentable, s'il y avait une structuration de l'ensemble de la chaîne touristique autour du carnval. Il faut concevoir un produit spécifiquement pour les touristes afin qu'ils soient pris en charge du début à la fin de leur séjour aussi bien sur le plan logistique, culturel et de l'amusement.
Selon le président de l'Union syndicale des opérateurs touristiques de la Guyane, Jean-Luc Lewest, tous les ingrédients sont en place : le transport aérien, l'accueil hôtelier, les excursions comme le spectacle carnavalesque, il reste à les mailler.
Le Comité du Tourisme annonce que la donne pourrait changer dès 2018.
Le reportage de Clotilde Séraphins et Claude Djani