Ce 26 octobre au local commun résidentiel de Sainte-Agathe, dans le quartier Simko à Macouria, se tenait un "atelier" de Street Art. Un rendez-vous ouvert à tous organisé dans le cadre du festival Atip’art organisé par la ville et l’association Muzé Laru.
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Ce lundi, au Local Commun Résidentiel de Sainte-Agathe, dans le quartier Simko à Macouria, se tenait un "atelier" de Street Art. Un rendez-vous ouvert à tous organisé dans le cadre du festival Atip’art organisé par la ville et l’association Muzé Laru. Les artistes et les participants ont confectionné une sculpture cubique qui sera exposé un peu partout dans la ville. Chaque participant a pu mettre sa pierre à l’édifice (ou plutôt son graffiti). De quoi laisser libre court à son imagination.
Ces jeunes n’ont jamais tenu une bombe de peinture dans leur main… Mais qu’importe l’expérience, face au plaisir de taguer ces grandes feuilles de papier comme le dit Lay-Nidkel : « Je suis en train de peinturer avec la bombe pour peindre et faire des couleurs » ou encore Marie : « En général j’aime bien tout ce qui est peinture, donc ça m’intéressait beaucoup ce concept. D’imaginer, de faire ce que l’on a envie, d’être libre de nos choix ».
Le Street Art a porté de main pour laisser libre court à son imagination ! Ils sont plus d’une vingtaine de curieux à s’être laissés tenter par l’expérience.
Guillaume Pangon alias Dgip :
Six artistes animent cet atelier. Chacun apporte sa propre technique et développe son style. Lettrage, impression, coulure, multicouches. Nicolas Quillot alias Scimo propose lui un décalquage avec des éléments naturels :
Deux heures plus tard, l’œuvre, cubique et collégiale, voit enfin le jour ! Le cube, offert à la municipalité, se veut nomade. Il sera exposé un peu partout dans la ville.
La découverte de la peinture
Ces jeunes n’ont jamais tenu une bombe de peinture dans leur main… Mais qu’importe l’expérience, face au plaisir de taguer ces grandes feuilles de papier comme le dit Lay-Nidkel : « Je suis en train de peinturer avec la bombe pour peindre et faire des couleurs » ou encore Marie : « En général j’aime bien tout ce qui est peinture, donc ça m’intéressait beaucoup ce concept. D’imaginer, de faire ce que l’on a envie, d’être libre de nos choix ».Le Street Art a porté de main pour laisser libre court à son imagination ! Ils sont plus d’une vingtaine de curieux à s’être laissés tenter par l’expérience.
Guillaume Pangon alias Dgip :
« Aujourd’hui c’est un atelier qui va nous permettre de construire un cube comme celui-ci, mais d’1m20 de haut. C’est une maquette. Chaque participant va décorer une des bandes qui va habiller la structure en bois qu’on est en train de fabriquer actuellement. »
Six artistes animent cet atelier. Chacun apporte sa propre technique et développe son style. Lettrage, impression, coulure, multicouches. Nicolas Quillot alias Scimo propose lui un décalquage avec des éléments naturels :
« Les enfants prennent des feuilles, ils les impriment. C’est un peu un pochoir inversé. Le but c’est aussi de montrer que le street art ça peut être simple et que dès 8 ans on peut faire des choses intéressantes avec un sens graphique important. »
Deux heures plus tard, l’œuvre, cubique et collégiale, voit enfin le jour ! Le cube, offert à la municipalité, se veut nomade. Il sera exposé un peu partout dans la ville.
Graffeurs : à Macouria c'est le festival " Atip' Art"