C’est une cargaison précieuse que le Centre hospitalier de Cayenne vient de réceptionner des réactifs pour effectuer 2000 nouveaux tests. Si tout va bien, une nouvelle cargaison, du même volume, sera reçue le 13 avril. Mais les tests les plus rapides se font toujours attendre.
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Le Centre hospitalier de Cayenne a reçu lundi soir les réactifs permettant de réaliser 2000 tests du coronavirus. De quoi tenir un mois et demi, pour le laboratoire de l’hôpital, si la cadence ne s’accélère pas avec la montée de l’épidémie. 50 tests sont effectués chaque jour actuellement.
Ces réactifs avaient été commandés le 19 mars, ils permettent d’identifier l’ARN du virus, son matériel génétique, une procédure de biologie moléculaire qui est déjà en cours de validation au laboratoire du centre hospitalier. Si cette validation est acquise, et elle doit l’être pour chaque nouvelle technique, une autre commande de 2000 tests sera effectuée, pour une livraison le 13 avril. C’est jeudi que les premiers patients bénéficieront de cette nouvelle méthode.
L’hôpital de Cayenne indique par ailleurs avoir également commandé 300 tests d’une autre catégorie depuis le 27 février. Mais pour l’instant, seuls 30 ont été reçus le 23 mars. Or il s’agit de tests beaucoup plus rapides que ceux utilisés actuellement, puisqu’ils délivrent un diagnostic dans l’heure, destinés notamment aux patients dont l’état se dégrade.
Ces réactifs avaient été commandés le 19 mars, ils permettent d’identifier l’ARN du virus, son matériel génétique, une procédure de biologie moléculaire qui est déjà en cours de validation au laboratoire du centre hospitalier. Si cette validation est acquise, et elle doit l’être pour chaque nouvelle technique, une autre commande de 2000 tests sera effectuée, pour une livraison le 13 avril. C’est jeudi que les premiers patients bénéficieront de cette nouvelle méthode.
L’hôpital de Cayenne indique par ailleurs avoir également commandé 300 tests d’une autre catégorie depuis le 27 février. Mais pour l’instant, seuls 30 ont été reçus le 23 mars. Or il s’agit de tests beaucoup plus rapides que ceux utilisés actuellement, puisqu’ils délivrent un diagnostic dans l’heure, destinés notamment aux patients dont l’état se dégrade.