Le corps de l'adolescent tombé hier dans la station d'épuration du quartier Barbadine à matoury a été repêché ce matin vers 6 heures par les pompiers. Le procureur de la République a ouvert une enquête pour déterminer les causes et les circonstances exactes de la mort.
Stupeur et incompréhension, pour les parents du jeune Alexandre, le cadavre du garçon de 12 ans, disparu depuis 16h45, a été retrouvé dans la station d’épuration du quartier des Barbadines à Matoury.
Pour l’instant les circonstances du tragique fait-divers, ne sont pas encore déterminées. Selon les parents d’Alexandre, l’élève de 5ème au collège La Canopée, à proximité, avait cours hier après-midi. Un cours qui aurait été annulé. Alexandre était-il sous la responsabilité de ses parents ou de l’Education nationale ? L’enquête le déterminera. Un autre élément dans la configuration des lieux, questionne aussi les parents.
Joseph Julme exprime son chagrin
Sur place Serge Smock, le maire de Matoury, était aux côtés des parents, pour répondre aux questions de la famille et des proches. Et éviter que le chagrin ne se transforme en colère.
Mais toutes nos sollicitations se sont heurtées au silence.
Des circonstances indéterminées
Pour l’instant les circonstances du tragique fait-divers, ne sont pas encore déterminées. Selon les parents d’Alexandre, l’élève de 5ème au collège La Canopée, à proximité, avait cours hier après-midi. Un cours qui aurait été annulé. Alexandre était-il sous la responsabilité de ses parents ou de l’Education nationale ? L’enquête le déterminera. Un autre élément dans la configuration des lieux, questionne aussi les parents.Joseph Julme exprime son chagrin
"Je suis mort de chagrin. Faites très attention aux enfants. La douleur de mon épouse c'est très dur. Je me questionne sur la sécurité autour de la station".
Le maire de Matoury sur place
Sur place Serge Smock, le maire de Matoury, était aux côtés des parents, pour répondre aux questions de la famille et des proches. Et éviter que le chagrin ne se transforme en colère.Alexandre ne savait pas nager, que faisait t-il sur ce site avec des camarades ? Pourquoi le lieu n’est pas clôturé, la barrière suffisait-elle, pourquoi il n’y a aucun panneau interdisant l’accès aux lieux ? Autant de questions que nous aurions aimé poser à la compagnie d’Ingénierie des Eaux, qui a la délégation de service public de la CACL."Nous sommes dans un pays de droit et c'est la Justice qui jugera"
Mais toutes nos sollicitations se sont heurtées au silence.