En Guyane, des centaines de jeunes sont exclus du système scolaire, le plus souvent, des enfants de migrants. Ici ou là, des associations proposent des cours pour leur apprendre le français. C’est le cas de l’association Franco-Dominicaine de Guyane à Cayenne
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Plus d'une soixantaine d'enfants fréquentent une classe improvisée à Cayenne. Certains attendent d’être scolarisés depuis plus d’un an. Ce sont des enfants de migrants. En attendant mieux, ils suivent les cours d’un enseignant qui était directeur d’école en Haïti. Il donne ces cours bénévolement.
Mais la difficulté est de faire cours à des élèves âgés de 6 à 17 ans qui n’ont pas les mêmes besoins comme le souligne l'un d'entre eux, venu du Pérou. Sandoval attend une place au collège depuis un an. Ces enfants sont inscrits au CASNAV, la structure d’accueil des élèves non francophones nouvellement arrivés en Guyane.
Cette classe a été montée cette année par l’association franco dominicaine de Guyane dans son local.
Les cours sont prévus chaque après-midi. L'association recherche une autre salle pour faire face aux nombreuses demandes.
En Guyane, près de 700 jeunes sont inscrits au CASNAV et exclus pour le moment du système scolaire.
Des cours de français en attendant la scolarisation
Mais la difficulté est de faire cours à des élèves âgés de 6 à 17 ans qui n’ont pas les mêmes besoins comme le souligne l'un d'entre eux, venu du Pérou. Sandoval attend une place au collège depuis un an. Ces enfants sont inscrits au CASNAV, la structure d’accueil des élèves non francophones nouvellement arrivés en Guyane.Cette classe a été montée cette année par l’association franco dominicaine de Guyane dans son local.
Les cours sont prévus chaque après-midi. L'association recherche une autre salle pour faire face aux nombreuses demandes.
En Guyane, près de 700 jeunes sont inscrits au CASNAV et exclus pour le moment du système scolaire.