Depuis le début du mois de décembre, l'activité épidémique reste importante. Pour tenter de ralentir le virus, les mesures de freinages prises jusqu'à nouvel ordre.
Toutes les mesures de freinages prises le 15 décembre sont prolongées jusqu’à nouvel ordre. L'arrêté préfectoral a été publié hier. Le couvre-feu est prorogé à partir du 4 janvier dans 5 communes du littoral où circule le virus. Le non-respect des interdictions de circulation entraine toujours une amende de 135 euros.
Avec une circulation intense du virus sur le territoire de Guyane et plus particulièrement dans l’île de Cayenne, pour essayer de ralentir le virus, les mesures de freinages prises sont prolongées et ce jusqu'à nouvel ordre.
Pas de circulation entre 21h et 5h du matin pour les communes du littoral
La période de fête de fin d’année est passée, la rentrée scolaire approche mais le coronavirus est toujours d’actualité et globalement localisé dans les zones urbaines. Conséquence : le couvre-feu et les mesures de lutte contre la propagation du virus sont toutes reconduits.
Maintien donc de l’Interdiction de la circulation de 21h à 5h du matin pour les 5 communes du littoral Cayenne, Rémire-Montjoly, Matoury, Macouria et Kourou.
Les déplacements sont toutefois autorisés à condition de présenter une attestation ou une facture justifiant une sortie au restaurant…ces établissements peuvent rester ouverts jusqu’à 22h30.
L’interdiction de circulation est de minuit à 5h du matin à Apatou, Camopi, Grand-Santi, Mana, Maripasoula, Saint-Georges, Saint-Laurent et Sinnamary. Il n’y a pas de restriction de circulation pour les autres communes du territoire.
Autre mesure forte en plus du couvre-feu, l’Interdiction de vente d’alcool de 18h à 6h du matin est prolongée dans tout le département. Mais cet arrêté du 2 janvier précise également tout rassemblement - réunion ou activité de plus de 6 personnes sur la voie publique, ou dans un lieu ouvert au public, - est interdit.
Rappelons que le port du masque est obligatoire dans l’espace public et que les frontières restent fermées.
Au titre de la répression, le non-respect du couvre-feu entraine une amende de 135 euros. Quant aux établissements recevant du public, elles seraient sur le coup d’une fermeture administrative en cas de non respects des mesures sanitaires.