C’était une promesse du président de la République Emmanuel Macron, faire en sorte que les allocations versées aux demandeurs d’asile alimentent l’économie locale au lieu de faire la fortune des sociétés de transfert d’argent à l’étranger.
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La Guyane va expérimenter la carte de paiement pour les demandeurs d’asile, avant certainement une extension sur le territoire national. Le but, faire en sorte que les 10 millions d’euros versés chaque années aux immigrés alimentent le commerce local au lieu de repartir vers des pays comme Haïti ou le Brésil. On le sait, les différentes diasporas sont souvent une source de revenus (parfois la seule) pour les familles restées au pays.
Didier Leschi, directeur général de l’office Français de l’immigration et de l’intégration (OFII), est venu dans notre département pour lancer le dispositif.
Après plusieurs années de grosse pression migratoire (+5.000 demandes par an en 2016 et 2017) depuis l’année dernière on assiste à une chute des demandes (-50%) pour atteindre le chiffre de 2.300 demandes en 2018.
Didier Leschi, directeur général de l’office Français de l’immigration et de l’intégration (OFII), est venu dans notre département pour lancer le dispositif.
Après plusieurs années de grosse pression migratoire (+5.000 demandes par an en 2016 et 2017) depuis l’année dernière on assiste à une chute des demandes (-50%) pour atteindre le chiffre de 2.300 demandes en 2018.