« Ecrire en temps de confinement » c’était le thème d’un concours littéraire lancé par l’Académie de Guyane en début du mois d’avril. Le recueil des textes est déjà en ligne sur le site de l’Harmattan et c’est une petite pépite.
Au total une soixantaine de textes ont été compilés. Ils font comme prévu l’objet d’une publication numérique sur le site de l’Harmattan. Un ouvrage accessible à tous en version numérique. Les organisateurs voulaient inciter les élèves à profiter de ce temps de confinement pour se découvrir une âme d’écrivain. Le concours était ouvert à tout élève de l’Académie, de la sixième à la terminale. Chaque élève avait le choix entre différentes thématiques. Les écrits devaient tenir sur deux pages maximum, avec 4500 caractères sur ordinateur ou tablette.
Le livre est paru ce jeudi 30 avril. Pour l’initiatrice de ce projet Isabelle Niveau, c’est une véritable découverte. Les textes publiés sont de grande qualité et donnent la vision des jeunes sur la période singulière qu’ils vivent actuellement.
Isabelle Niveau inspecteur d’Académie déléguée académique Arts et Culture commente :
Une pépite
Le livre est paru ce jeudi 30 avril. Pour l’initiatrice de ce projet Isabelle Niveau, c’est une véritable découverte. Les textes publiés sont de grande qualité et donnent la vision des jeunes sur la période singulière qu’ils vivent actuellement.Isabelle Niveau inspecteur d’Académie déléguée académique Arts et Culture commente :
Pour les retardataires, il n’est pas trop tard. Ils peuvent toujours envoyer leurs nouvelles. « Ecrire en temps de confinement » est un succès. Une version papier sera bientôt disponible chez l'Harmattan."Nous avons reçu 61 textes en dix jours. Cela montre que les jeunes aiment écrire. Ce concours a été bien été au-delà de mes espérances. Nous sommes touchés par la sincérité de leurs écrits et par leur innocence. Ils ont une grande foi en l’avenir. Ce qui m’a marquée c’est dans la catégorie des 6e, ils devaient rédiger un récit d’aventures, beaucoup se sont
inspirés des traditions, des contes guyanais. Pour les plus grands, j’avais insisté sur des récits personnels, et j’ai été touchée par le sens des valeurs, de la famille qu'ils ont. Il y a beaucoup de maturité et d’humanité dans ces nouvelles."