La coopérative avicole et cunicole de Guyane du haut de ses 30 et quelques années d’existence proposera d’ici l’an prochain de l’œuf liquide et des œufs durs prêts à la consommation. Un investissement conséquent soutenu par les fonds européens.
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La Coopérative Avicole et Cunicole de Guyane proposera d’ici l’an prochain de l’œuf liquide et des œufs durs prêts à la consommation. L’investissement conséquent soutenu par les fonds européens permet de répondre localement à une demande surtout des professionnels de la cuisine et les cantines scolaires.
Les œufs, le fer de lance de la CACG, la coopérative avicole et cunicole de Guyane : 18 des 20 membres de la coopérative sont des producteurs d’œufs. La structure, avec 11 500 000 œufs fournis en 2019 répond à elle seule à 80% de la demande estimée des consommateurs guyanais. Cela concerne les produits que l’on pourrait dire « parfaits ». Les autres, mangeables mais pas vendables partent au rebus. D’ici peu, courant 2021, ces œufs déclassés par la mireuse seront transformés.
Et dans une extension de la CACG que se fera cette transformation : 150 mètres carrés de bâtiment aménagé pour un coût de 500 000 euros de travaux et d’équipement financés à 75 % par l’Europe via le FEADER. Le projet a pris du retard à cause de la crise sanitaire mais il est en voie d’achèvement. Les produits qui en sortiront respecteront le cahier des charges.
L'oeuf "parfait"
Les œufs, le fer de lance de la CACG, la coopérative avicole et cunicole de Guyane : 18 des 20 membres de la coopérative sont des producteurs d’œufs. La structure, avec 11 500 000 œufs fournis en 2019 répond à elle seule à 80% de la demande estimée des consommateurs guyanais. Cela concerne les produits que l’on pourrait dire « parfaits ». Les autres, mangeables mais pas vendables partent au rebus. D’ici peu, courant 2021, ces œufs déclassés par la mireuse seront transformés."Nous avons une machine qui est dans un processus de traitement des oeufs, les oeufs selon leur état sont orientés"
Fonds européens
Et dans une extension de la CACG que se fera cette transformation : 150 mètres carrés de bâtiment aménagé pour un coût de 500 000 euros de travaux et d’équipement financés à 75 % par l’Europe via le FEADER. Le projet a pris du retard à cause de la crise sanitaire mais il est en voie d’achèvement. Les produits qui en sortiront respecteront le cahier des charges.Ces produits attendus par les cantines et les professionnels de l’alimentation se retrouveront également dans le circuit de la grande distribution. Comme en Nouvelle Calédonie, l’œuf liquide devrait couler à flots et « l’œuf dur prêt à manger » faire sensation. Dans le milieu, on y croit dur comme fer."Les oeufs ont la même durée de conservation. Pour l'oeuf liquide ce sera un système de pasteurisation et l'oeuf dur un procédé classique sans adjuvants."
Production locale : bientôt l’œuf liquide dans les rayons.