« Orpaillage clandestin et climat d’inquiétude en Guyane », Jean-Paul Fereira, le maire d’Awala-Yalimapo titre de cette manière sa lettre au Président de la République. L’heure doit être vraiment très grave pour que ce maire discret prenne ainsi sa plume.
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La discrétion habituelle de Jean-Paul Féreira donne tout son poids à cette interpellation de François Hollande. D’emblée le tableau est dressé en quelques mots, « l’orpaillage clandestin est un véritable fléau qui inflige aux populations du fleuve, une souffrance dont elles ne voient pas le crépuscule »…
Une situation qui, selon l’élu, a pour conséquence de placer cette région dans une position délicate : « la Guyane connait des zones de non droit, des zones où la république a reculé ».
Jean-Paul Féreira réclame donc à l’Etat de tenir ses promesses, à commencer par le pacte d’avenir annoncé en 2013 qui tarde à se concrétiser, écrit-il.
« Comment accepter la non fiscalisation du domaine privé de l’Etat, seulement en Guyane », interroge par ailleurs le premier édile d'Awala-yalimapo.
UCette lettre constiotue un acte politique fort. On peut se demander, peut-être, malicieusement, quelles sont les visées du maire d’Awala. Et si c’était juste un engagement pour la Guyane !
Une situation qui, selon l’élu, a pour conséquence de placer cette région dans une position délicate : « la Guyane connait des zones de non droit, des zones où la république a reculé ».
Jean-Paul Féreira réclame donc à l’Etat de tenir ses promesses, à commencer par le pacte d’avenir annoncé en 2013 qui tarde à se concrétiser, écrit-il.
« Comment accepter la non fiscalisation du domaine privé de l’Etat, seulement en Guyane », interroge par ailleurs le premier édile d'Awala-yalimapo.
UCette lettre constiotue un acte politique fort. On peut se demander, peut-être, malicieusement, quelles sont les visées du maire d’Awala. Et si c’était juste un engagement pour la Guyane !
Courrier de Jean-Paul Fereira au président Hollande