Après 7 ans de chantier, la zone urbaine sensible de Copaya, à Matoury, laisse place à un nouveau quartier, inauguré en partie ce 10 novembre. Avec la Zac Copaya, les aménageurs ont mis l’accent sur la mixité sociale et le cadre de vie pour ne pas reproduire les erreurs du passé
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Juillet 2010, la destruction de la cité Copaya à Matoury est lancée. Mal conçue, trop isolée, le site présentait alors toutes les caractéristiques d’une zone urbaine sensible sans être officiellement reconnue comme telle. Aujourd’hui, un nouveau quartier sort de terre. Le site est désormais reliée à la route nationale. 291 logements sont en train d’y être construits, en lieu et place de l’ancienne cité. Cette fois, priorité est donnée à la mixité sociale.
Il s’agit de ne pas répéter les erreurs d’urbanisme qui ont conduit à l’échec des précédentes constructions
Les anciens résidents ont été relogés. Mais certains ont voulu revenir vivre ici, dans les nouvelles habitations et le changement radical les satisfait entièrement.
Ce programme qui aura coûté 92 millions d’euros, co-financés notamment par l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru), la Semsamar, l’Etat, l’Europe et la commune.
Pour l’instant, 86 logements ont été livrés
Le reportage de Guyane 1ère
La volonté de ne pas reproduire les erreurs du passé
A côté du quartier résidentiel, des équipements de proximité sont programmés, comme un groupe scolaire qui accueillera 150 élèves de maternelles et primaires, ainsi qu’un pôle enfance. Il y aura aussi une aire de jeux, un plateau multi sports et une maison de quartier. Enfin, une zone dédiée à l’activité économique complète l’ensemble.Il s’agit de ne pas répéter les erreurs d’urbanisme qui ont conduit à l’échec des précédentes constructions
Les anciens résidents ont été relogés. Mais certains ont voulu revenir vivre ici, dans les nouvelles habitations et le changement radical les satisfait entièrement.
Ce programme qui aura coûté 92 millions d’euros, co-financés notamment par l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru), la Semsamar, l’Etat, l’Europe et la commune.
Pour l’instant, 86 logements ont été livrés
Le reportage de Guyane 1ère