Après la mort d'un jeune brésilien à la frontière entre la Guyane et le Brésil, un militaire a été placé en garde à vue pour homicide volontaire ce 24 septembre. Les faits seraient survenus lors d'une opération Harpie de lutte contre l'orpaillage illégal sur le territoire de Camopi.
Un jeune brésilien a été tué par arme à feu dans la région de Camopi durant le week-end. Une information qui a été directement relayée à la gendarmerie par des orpailleurs illégaux venus signaler ce décès en accusant un militaire.
L'affaire a été confiée à la section de recherche de la gendarmerie nationale qui a dépêché 4 enquêteurs à Camopi. Dans le même temps des auditions des militaires de l'opération ont été menées ainsi que des perquisitions. Cette enquête est conduite en coopération avec les autorités judiciaires brésiliennes.
Le corps de la victime a été autopsié à Oiapoque au Brésil le lundi 23 septembre.
Le procureur de la République, Samuel Filniez confirme la réalité des faits dans un communiqué : Les interrogatoires et les perquisitions effectués dans le cadre de l'enquête et les retours d'information de la police brésilienne ont établi que ce décès était consécutif à un acte potentiellement criminel perpétré par un militaire de l'armée de terre. Le militaire en question a été placé en garde à vue pour homicide volontaire dans la soirée du 23 septembre 2019.
L'affaire a été confiée à la section de recherche de la gendarmerie nationale qui a dépêché 4 enquêteurs à Camopi. Dans le même temps des auditions des militaires de l'opération ont été menées ainsi que des perquisitions. Cette enquête est conduite en coopération avec les autorités judiciaires brésiliennes.
Le corps de la victime a été autopsié à Oiapoque au Brésil le lundi 23 septembre.
Le procureur de la République, Samuel Filniez confirme la réalité des faits dans un communiqué : Les interrogatoires et les perquisitions effectués dans le cadre de l'enquête et les retours d'information de la police brésilienne ont établi que ce décès était consécutif à un acte potentiellement criminel perpétré par un militaire de l'armée de terre. Le militaire en question a été placé en garde à vue pour homicide volontaire dans la soirée du 23 septembre 2019.