Les socio professionnels, les professions libérales et les syndicats patronaux ont interpellé les élus politiques sur leur situation difficile en cette période de crise sanitaire et sociale. Les entreprises doivent faire face à leurs charges fixes avec une baisse constante des activités.
Une situation de plus en plus difficile qui les poussent à réclamer des mesures d’urgence pour sauvegarder l’économie guyanaise et pérenniser leurs activités.
Commerces fermées, chantiers au ralenti, de nombreuses traites à payer, les entreprises et sociétés sont quasiment au bord du gouffre. Quasiment aucune rentrée d’argent dans les caisses. Elles demandent un vrai plan d’urgence aux élus politiques pour sauver l’économie guyanaise et sauvegarder les milliers d’emplois menacés dans un département avec un taux de chômage, déjà trop élevé.
Les entreprises demandent à être payés dans les 15 jours par les collectivités locales après avoir déposé leurs factures en attendant les aides de l’état et l’augmentation du fond d’urgence économique de près de 9 millions d’euros voté par la CTG et ses partenaires en début de semaine.
Socio professionnels, syndicats patronaux et professions libérales sont mobilisés sur tous les fronts depuis le début du confinement. Les représentants réclament beaucoup plus de souplesse dans le traitement des dossiers de crédits au niveau des banques, le report du paiement des charges sociales et fiscales sur les 7 prochaines années et la relance de la commande publique.
Karine Sinaï-Bossou : présidente de la chambre de commerce et d’industrie de Guyane souligne :
A bout de souffle, les forces économiques de la collectivité multiplient les réunions, partagent leurs expériences pour essayer de sauvegarder quelques emplois. Leur volonté est de maintenir leurs activités au service de la population.
Un plan d'urgence pour sauver des milliers d'emplois
Commerces fermées, chantiers au ralenti, de nombreuses traites à payer, les entreprises et sociétés sont quasiment au bord du gouffre. Quasiment aucune rentrée d’argent dans les caisses. Elles demandent un vrai plan d’urgence aux élus politiques pour sauver l’économie guyanaise et sauvegarder les milliers d’emplois menacés dans un département avec un taux de chômage, déjà trop élevé.Les entreprises demandent à être payés dans les 15 jours par les collectivités locales après avoir déposé leurs factures en attendant les aides de l’état et l’augmentation du fond d’urgence économique de près de 9 millions d’euros voté par la CTG et ses partenaires en début de semaine.
Socio professionnels, syndicats patronaux et professions libérales sont mobilisés sur tous les fronts depuis le début du confinement. Les représentants réclament beaucoup plus de souplesse dans le traitement des dossiers de crédits au niveau des banques, le report du paiement des charges sociales et fiscales sur les 7 prochaines années et la relance de la commande publique.
Karine Sinaï-Bossou : présidente de la chambre de commerce et d’industrie de Guyane souligne :
... la paperasserie, les montages de dossiers beaucoup trop lourds. Il faut qu'il y ait ce remboursement au niveau de la sécurité sociale que l'on ait pas forcément à le demander et des rappels à la loi tout simplement pour la trésorerie pour que l'on paye nos salaires et qu'on puisse passer le cap de cette difficile épreuve...
A bout de souffle, les forces économiques de la collectivité multiplient les réunions, partagent leurs expériences pour essayer de sauvegarder quelques emplois. Leur volonté est de maintenir leurs activités au service de la population.