Le Pacte d'avenir continue de faire couler de l'encre et provoque des soubresauts en Guyane. Le président de la CTG, Rodolphe Alexandre maintient son positionnement et continue de croire à la négociation avec le gouvernement alors que l'opposition en appelle à un congrès sur le Pacte d'avenir.
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L'incertitude continue de peser sur la signature du Pacte d'avenir proposé par le président Hollande en 2013. Le courrier du 28 novembre de la présidence prenant acte du report de signature de Rodolphe Alexandre insatisfait des propositions ressemble fort à une fin de non recevoir. Cependant, le président de la CTG, ne s'avoue pas battu et a relancé par courrier le président Hollande. Il insiste sur le fait que certains points notamment la construction des lycées et collèges, la réalisation de la deux fois deux voies vers Macouria, le pont de Cayenne, la rétrocession de 200 000 hectares au lieu des 100 000 proposés lui apparaissent non négociables.
Le président Alexandre, souligne dans son courrier, que la non signature du Pacte alors que la Guyane est a un tournant de son histoire, ne ferait qu’aggraver la situation et encourage le président Hollande à aller au bout de son engagement dans l’accompagnement du développement du territoire
Cette affaire est suivie de près par le groupe d'opposition "Pour une Guyane audacieuse". Il estime que Rodolphe Alexandre est enfermé dans ses mensonges et souhaite désormais associer la population et les élus a son échec personnel sur un dossier géré, jusqu'alors, en solitaire. Alain Tien Liong et les élus d’opposition réclament, ainsi, une nouvelle fois la tenue d’un congrès sur le Pacte d’avenir. Alain Tien Liong dit par ailleurs ne pas croire dans la possibilité d’une signature du Pacte avant l’échéance des élections présidentielles.
Le reportage de Thierry Merlin
Le député de la 1ère circonscription, Gabriel Serville s'est aussi exprimé sur le sujet. Et selon le parlementaire - Un tien vaut mieux que deux tu l'auras - Aussi il plaide pour une signature immédiate du Pacte d'avenir. Le député de la 1ere circonscription rappelle qu’il avait plaidé pour une signature rapide du document étant entendu, qu’à lui seul, il ne réglerait pas tous les problèmes de la Guyane. Prenant l’exemple du foncier, il précise que la demande de 200 000 hectares n’était pas un point bloquant et le député de développer en expliquant qu’on ne pourra, de toutes façons, pas tout mettre dans le Pacte d’avenir tant les besoins de la Guyane sont immenses.
Le président Alexandre, souligne dans son courrier, que la non signature du Pacte alors que la Guyane est a un tournant de son histoire, ne ferait qu’aggraver la situation et encourage le président Hollande à aller au bout de son engagement dans l’accompagnement du développement du territoire
Cette affaire est suivie de près par le groupe d'opposition "Pour une Guyane audacieuse". Il estime que Rodolphe Alexandre est enfermé dans ses mensonges et souhaite désormais associer la population et les élus a son échec personnel sur un dossier géré, jusqu'alors, en solitaire. Alain Tien Liong et les élus d’opposition réclament, ainsi, une nouvelle fois la tenue d’un congrès sur le Pacte d’avenir. Alain Tien Liong dit par ailleurs ne pas croire dans la possibilité d’une signature du Pacte avant l’échéance des élections présidentielles.
Le reportage de Thierry Merlin
Le député de la 1ère circonscription, Gabriel Serville s'est aussi exprimé sur le sujet. Et selon le parlementaire - Un tien vaut mieux que deux tu l'auras - Aussi il plaide pour une signature immédiate du Pacte d'avenir. Le député de la 1ere circonscription rappelle qu’il avait plaidé pour une signature rapide du document étant entendu, qu’à lui seul, il ne réglerait pas tous les problèmes de la Guyane. Prenant l’exemple du foncier, il précise que la demande de 200 000 hectares n’était pas un point bloquant et le député de développer en expliquant qu’on ne pourra, de toutes façons, pas tout mettre dans le Pacte d’avenir tant les besoins de la Guyane sont immenses.