Le CNES ne versera plus de subvention au Centre Hospitalier de Kourou, ex-CMCK. Son directeur, Didier FAIVRE, l’a confirmé ce lundi au micro de Guyane la 1ère. L’hôpital de Kourou étant désormais un établissement public, c'est aux autorités de santé de le financer intégralement dit-il.
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Les grévistes de l’hôpital de Kourou appellent le CNES à l’aide. Le Centre National d’Études Spatiales est le fondateur du Centre Médico Chirurgical de Kourou dans les années 60. Puis ensuite la Croix Rouge va gérer avec le soutien du CNES. Une subvention de 500 000 euros est versée tous les ans pour l’investissement. et même un million en 2017, après le mouvement social. Mais avec la transformation du CMCK privé en établissement public hospitalier le 1er janvier 2018, le CNES a coupé le robinet
S’il ne finance plus le CHK, le CNES rappelle l’augmentation de son engagement pour la Guyane de 40 à 50 millions d’euros de 2014 à 2020, suite aux mouvements sociaux.
Au CHK, les grévistes de l’UTG se sentent abandonnés par le CNES. Pour eux, cette aide émanant d’un établissement public s’impose.
Le 17 décembre une délégation de l’UTG a rencontré le directeur du CSG. Le dossier sera transmis au PDG du CNES, présent en Guyane pour le lancement Soyouz du 18 décembre.
Le reportage de Guyane la 1ère
S’il ne finance plus le CHK, le CNES rappelle l’augmentation de son engagement pour la Guyane de 40 à 50 millions d’euros de 2014 à 2020, suite aux mouvements sociaux.
Au CHK, les grévistes de l’UTG se sentent abandonnés par le CNES. Pour eux, cette aide émanant d’un établissement public s’impose.
Le 17 décembre une délégation de l’UTG a rencontré le directeur du CSG. Le dossier sera transmis au PDG du CNES, présent en Guyane pour le lancement Soyouz du 18 décembre.
Le reportage de Guyane la 1ère