A Kourou, les parents d’élèves de l’école élémentaire Maximilien Saba ont retrouvé le sourire. Leurs enfants feront leur rentrée le 1er septembre dans une école certes provisoire, mais flambant neuve.
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La nouvelle infrastructure de l'école Maximilien Saba se trouve juste en face de l’ancienne école, fermée depuis le mois de mai pour des raisons de sécurité (risque d’effondrement)
En juin dernier, les parents avaient manifesté car ils craignaient que leurs enfants ne soient dispatchés dans les différents établissements scolaires de la ville. Une crainte désormais oubliée.
400 élèves feront leur rentrée dans ces nouveaux locaux. Des bungalows, neuf et climatisés. La cantine sera même possible pour 80 enfants. Ce n’était pas le cas auparavant. Cette structure a coûté 800 000 euros. La Mairie a reçu une aide de 150 000 euros de la préfecture et les 550 000 euros restant sont à la charge de la collectivité.
L’objectif de la Mairie est de raser l’ancienne école, vieille de 25 ans, et jugée dangereuse, pour y reconstruire de nouveaux locaux, équipés en nouvelles technologies.
Une opération qui sera ensuite appliquée à l’école maternelle située juste à côté, et tout cela dans un délai de 3 ans.
Le reportage de Laurence Tian Sio Po
En juin dernier, les parents avaient manifesté car ils craignaient que leurs enfants ne soient dispatchés dans les différents établissements scolaires de la ville. Une crainte désormais oubliée.
400 élèves feront leur rentrée dans ces nouveaux locaux. Des bungalows, neuf et climatisés. La cantine sera même possible pour 80 enfants. Ce n’était pas le cas auparavant. Cette structure a coûté 800 000 euros. La Mairie a reçu une aide de 150 000 euros de la préfecture et les 550 000 euros restant sont à la charge de la collectivité.
L’objectif de la Mairie est de raser l’ancienne école, vieille de 25 ans, et jugée dangereuse, pour y reconstruire de nouveaux locaux, équipés en nouvelles technologies.
Une opération qui sera ensuite appliquée à l’école maternelle située juste à côté, et tout cela dans un délai de 3 ans.
Le reportage de Laurence Tian Sio Po