La grève à la société Séris de kourou est terminée. Durant 15 jours, les salariés sont restés mobilisés. Un protocole d'accord mettant fin au mouvement de protestation a été signé ce lundi 17 octobre. Les grévistes ont obtenu gain de cause sur les 6 points de revendication.
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Il aura fallu 15 jours de grève et surtout l’entrée dans le conflit de la branche "Séris Space", pour débloquer la situation dans la société de sécurité Séris de Kourou.
Hier matin lundi 17 octobre, les salariés de l’entreprise de sécurité étaient une nouvelle fois mobilisés pour distribuer des tracts, à la différence qu’ils ont été rejoints par leurs collègues de la branche "Séris Space", une partie du personnel s’occupant de la sécurité du Centre spatial guyanais.
A 10 heures les négociations reprenaient, à 18 heures un protocole d’accord était signé. Les salariés ont obtenu gain de cause, à savoir un nouveau plan de formation, ainsi qu’une augmentation de salaire de 2%.
Arnaud Charles, représentant syndical UTG à Séris Guyane se félicite de la solidarité au sein de l’entreprise, il témoigne : « c’est l’entrée de "Séris Space" dans le mouvement qui a fait que la négociation est revenue et tout de suite nous avons obtenus ce que l’on voulait… ».
Le reportage de Jean-Gilles Assard
Hier matin lundi 17 octobre, les salariés de l’entreprise de sécurité étaient une nouvelle fois mobilisés pour distribuer des tracts, à la différence qu’ils ont été rejoints par leurs collègues de la branche "Séris Space", une partie du personnel s’occupant de la sécurité du Centre spatial guyanais.
A 10 heures les négociations reprenaient, à 18 heures un protocole d’accord était signé. Les salariés ont obtenu gain de cause, à savoir un nouveau plan de formation, ainsi qu’une augmentation de salaire de 2%.
Arnaud Charles, représentant syndical UTG à Séris Guyane se félicite de la solidarité au sein de l’entreprise, il témoigne : « c’est l’entrée de "Séris Space" dans le mouvement qui a fait que la négociation est revenue et tout de suite nous avons obtenus ce que l’on voulait… ».
Le reportage de Jean-Gilles Assard