Présente en Guyane, la directrice de WWF France, Véronique Andrieux a rencontré les décideurs institutionnels, les acteurs du parc amazonien et surtout elle a tenu une séance de travail avec le Grand conseil coutumier des peuples amérindiens et bushinengé à Saint Laurent du Maroni.
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Arrivée en Guyane depuis quelques jours, la directrice de WWF France, Véronique Andrieux a rencontré les acteurs institutionnels, les acteurs du parc amazonien et a tenu une séance de travail avec le Grand conseil coutumier des peuples amérindiens et bushinengé à Saint Laurent du Maroni. C’était l’occasion pour l'instance coutumière de faire un point sur le bilan des activités du WWF en Guyane après 20 ans de présence.
L'échange a porté sur plusieurs dossiers et, notamment, les revendications des peuples autochtones, la coopération entre les 3 Guyanes ou encore l’orpaillage illégal.
Tout le monde était réuni au village Terre Rouge de Saint-Laurent et les membres du Grand conseil coutumier ont exprimé leurs revendications. En charge de la commission amérindienne, Christophe Yanuwana Pierre vice-président du GCC déclare :
... on a échangé sur la coopération avec les 3 Guyanes... il y a une volonté de mieux travailler avec le Guyana, le Suriname et le Brésil puisque nous avons le même ancrage amazonien...
Le dossier le plus sensible pour le GCC, les autorités et le Parc Amazonien demeure celui de l'orpaillage illégal et Véronique Andrieux n'a pas manqué de le rappeler :
... le dossier le plus sensible est l'orpaillage illégal... il faut juguler l'utilisation du mercure source de pollution de l'eau dans un territoire le plus riche en eau par habitant au monde... Pour nous, il est essentiel de freiner cette utilisation et de lutter contre l'orpaillage illégal de manière ferme et décisive...
Cette rencontre a permis de jeter les premières bases de la préparation du Congrès Mondial pour la nature qui se déroulera au mois de juin prochain à Marseille.
La directrice de WWF France, Véronique Andrieux va poursuivre sa tournée avec une visite Maripasoula afin de rencontrer les chefs coutumiers amérindiens et bushningués du Haut Maroni.
L'échange a porté sur plusieurs dossiers et, notamment, les revendications des peuples autochtones, la coopération entre les 3 Guyanes ou encore l’orpaillage illégal.
Tout le monde était réuni au village Terre Rouge de Saint-Laurent et les membres du Grand conseil coutumier ont exprimé leurs revendications. En charge de la commission amérindienne, Christophe Yanuwana Pierre vice-président du GCC déclare :
... on a échangé sur la coopération avec les 3 Guyanes... il y a une volonté de mieux travailler avec le Guyana, le Suriname et le Brésil puisque nous avons le même ancrage amazonien...
Pour un traitement "ferme et décisif" de l'orpaillage illégal
Le dossier le plus sensible pour le GCC, les autorités et le Parc Amazonien demeure celui de l'orpaillage illégal et Véronique Andrieux n'a pas manqué de le rappeler :... le dossier le plus sensible est l'orpaillage illégal... il faut juguler l'utilisation du mercure source de pollution de l'eau dans un territoire le plus riche en eau par habitant au monde... Pour nous, il est essentiel de freiner cette utilisation et de lutter contre l'orpaillage illégal de manière ferme et décisive...
Cette rencontre a permis de jeter les premières bases de la préparation du Congrès Mondial pour la nature qui se déroulera au mois de juin prochain à Marseille.
La directrice de WWF France, Véronique Andrieux va poursuivre sa tournée avec une visite Maripasoula afin de rencontrer les chefs coutumiers amérindiens et bushningués du Haut Maroni.