Le martiniquais Bruno Sainte-Rose, est une des chevilles ouvrières de la fondation écologiste internationale The Océan Clean Up.
Dès ce mois de janvier 2020, l’interdiction du plastique va s’étendre à de nouveaux produits plastiques dits "à usage unique", gobelets, sacs, touillettes, cotons-tiges, pailles...
Les plastiques à usage unique ne devront plus être commercialisés et utilisés en France d’ici à fin juin. Une mesure qui vise à réduire ce type de déchets qui polluent les océans. Il se trouve que Bruno Sainte-Rose, un ingénieur Martiniquais de 33 ans, spécialisé en dynamique des fluides, participe à un projet de dépollution marine, au sein de la Fondation The Océan Clean Up. Au cœur de ce projet, il est en vacances en ce moment dans son île natale de la Martinique. Il nous a accordé un entretien.
Lancé en 2012 par le jeune militant écologiste Néerlandais, Boyan Slat, The Ocean Cleanup entend collecter en cinq ans la moitié des déchets plastiques du Pacifique nord. Un pari fou mais peut-être sur le point d'être engagé, puisqu’en septembre 2018, un énorme bateau, a quitté San Francisco (E.U) en tirant un équipement de 600 mètres de long destiné à nettoyer le Pacifique.
Les plastiques à usage unique ne devront plus être commercialisés et utilisés en France d’ici à fin juin. Une mesure qui vise à réduire ce type de déchets qui polluent les océans. Il se trouve que Bruno Sainte-Rose, un ingénieur Martiniquais de 33 ans, spécialisé en dynamique des fluides, participe à un projet de dépollution marine, au sein de la Fondation The Océan Clean Up. Au cœur de ce projet, il est en vacances en ce moment dans son île natale de la Martinique. Il nous a accordé un entretien.
Bruno Sainte-Rose