Revoir le mode de fonctionnement de la Fédération et vite. Tel est le souhait de beaucoup dans le monde de la yole et au-delà.
Emmanuel De Reynal, le patron d’Havas-Publidom, agence de publicité, ancien président de Contact-Entreprises, appelle "à l’arrêt de cette course à l’armement", qui dépouille les associations.
L'entrepreneur propose aussi de réduire la taille des coques et d’utiliser des matériaux moins coûteux.
Et pour faire entrer un peu d’argent frais, le publicitaire suggère à la Fédération d’organiser des initiations payantes à la yole. Des propositions qui devraient, selon lui, être évoquées lors des assises de la yole.
Idées intéressantes, selon Isabelle Malborough, la présidente de la fédération des Yoles Rondes qui évoque même d’autres pistes.
Une réforme qui se fera avec l’État, les collectivités locales et le privé.
Certains acteurs se disent prêts à apporter leur expertise, et même davantage, selon René Meril, président du CTOSMA (Comité Territorial Olympique et Sportif de Martinique).
Interrogé récemment à ce propos, l’homme d’affaires Robert Parfait, s’est dit favorable à une collaboration avec la Fédération des Yoles Rondes.