Le RPPRAC (Rassemblement pour la Protection des Peuples et des Ressources Afro Caribéens) continue d’appeler les Martiniquais à se mobiliser, afin d’obtenir une baisse des prix sur tous les produits alimentaires.
Le collectif a refusé, de signer le "protocole d’objectifs et de moyens de lutte contre la vie chère", conclu la semaine dernière (le 16 octobre) entre le préfet de la Martinique, le président de la collectivité territoriale, des parlementaires, ainsi que des représentants du monde économique de l’île, notamment des distributeurs et des grossistes.
L’accord prévoit une baisse, de 20% en moyenne, sur plus de 6 000 produits alimentaires et de première nécessité.
Mais quelle est la validité de ce document, et sa faisabilité ?
Ce protocole peut-il s’appliquer de fait à l’ensemble des territoires ultramarins, et singulièrement à a Guadeloupe ?