Jean Yves Minatchy dénonce l’excès de zèle des contrôleurs de la CGSS. Il demande au prefet de rappeler aux planteurs leurs droits en matière d'exonération, et aux salariés agricoles la possibilté de cumuler RSA et revenus de la canne.
Une fois n’est pas coutume, ce n’est pas un dimanche, mais un jour de semaine que le président de la CGPER a choisi pour pousser, ce mercredi, son coup de colère, sur une exploitation de Piton de Sainte Rose. « Ce n’est pas le travail au noir qu’il faut montrer du doigt, mais le manque de main d’œuvre..et d’information. Un voisin vient travailler trois heures sur l’exploitation pour donner un coup de main et compléter son RSA. S’il craint de perdre son allocation, il ne viendra plus travailler. »
Jean Yves Minatchy dénonce l’excès de zèle des contrôleurs de la CGSS, ces derniers jours dans plusieurs endroits de l’île, afin de repérer les salariés agricoles non déclarés.
En cette période de fin de campagne, les planteurs sont inquiets de ne pouvoir terminer la coupe dans de bonnes conditions, faute de volontaires dans les champs.
L’ancien Président de la Chambre d’Agriculture relance alors la proposition énoncée il y a quelques années : « Le préfet doit écrire aux bénéficiaires du RSA pour leur dire qu’ils peuvent travailler trois heures sans perdre leur droits ».
Il existe bien des contrats permettant de cumuler allocations et revenus de la coupe. Le planteur peut lui aussi bénéficier de certaines exonérations.. l’information doit être renforcée sur le terrain.
A Sainte Rose, c'est une dizaine de personnes qui sont venues effecteur ce contrôle sur une exploitation.
En images, avec Henri Claude Elma, Thierry Chenayer et Romain Marchand,
Jean Yves Minatchy dénonce l’excès de zèle des contrôleurs de la CGSS, ces derniers jours dans plusieurs endroits de l’île, afin de repérer les salariés agricoles non déclarés.
En cette période de fin de campagne, les planteurs sont inquiets de ne pouvoir terminer la coupe dans de bonnes conditions, faute de volontaires dans les champs.
L’ancien Président de la Chambre d’Agriculture relance alors la proposition énoncée il y a quelques années : « Le préfet doit écrire aux bénéficiaires du RSA pour leur dire qu’ils peuvent travailler trois heures sans perdre leur droits ».
Il existe bien des contrats permettant de cumuler allocations et revenus de la coupe. Le planteur peut lui aussi bénéficier de certaines exonérations.. l’information doit être renforcée sur le terrain.
A Sainte Rose, c'est une dizaine de personnes qui sont venues effecteur ce contrôle sur une exploitation.
En images, avec Henri Claude Elma, Thierry Chenayer et Romain Marchand,