La cérémonie du 14 juillet 2020, sous une pluie battante et empreinte d'émotion créée par de jeunes élèves de Fort-de-France et de Saint-Joseph. Ils ont rendu hommage à Alexandre Bonbois mobilisé en 1939 et à Ferriez-Elisabeth directeur et fondateur du journal "Le Sportif".
Un 14 juillet 2020 traditionnel place de la Savane à Fort-de-France. Traditionnel en présence des autorités civiles et militaires mais pas seulement. Les forces armées et de secours sont mis à l'honneur comme il se doit. Et puis, sous les gouttes d'une pluie battante jaillit l'émotion.
Deux jeunes anciennes élèves du lycée centre sud de Ducos entonnent la Marseillaise. Leurs voix brisent le silence et rassemblent les hommes, badauds, politiques, militaires, sapeurs-pompiers, corps préfectoral, anciens combattants et portes-drapeaux. Au micro, Mélodie Tarrieu et Clarys Montel offrent à la foule ce moment presque emprunt de légèreté sur un hymne national aux paroles guerrières.
Un peu plus tard, des élèves du module d'excellence du lycée Schoelcher vont déclamer un texte composé par le Golden Star en 1939.
Ils lisent un extrait du journal intime d'Alexandre Bonbois, martiniquais né à Case-Pilote. Mobilisé en septembre 1939, fait prisonnier par les allemands pendant quatre ans, il s'évade et est démobilisé le 23 janvier 1946. Il est décédé le 25 décembre 2009.
Un deuxième texte sera lu : un article de Ferriez-Elisabeth, directeur et fondateur du journal "Le Sportif" paru le 24 juillet 1943.
Après le dépôt de gerbes par le colonel Cotard, adjoint interarmées représentant le contre-amiral Jean Hausermann commandant supérieur des forces armées aux Antilles, puis par le maire de Fort-de-France Didier Laguerre, Miguel Laventure représentant l'exécutif de la CTM (Collectivité territoriale de Martinique) et le préfet de la Martinique Stanislas Cazelles.
Pas de défilé cette année pour cause de crise sanitaire mais une cérémonie sobre et emprunte de symboles représentées par les jeunes cadets de la défense du collège Julia Nicolas, du collège Roger Castendet à Fort-de-France et du collège Belle Étoile à Saint-Joseph.
À leurs côtés, des anciens combattants, des hommes engagés pour la France. Une union intergénérationnelle le temps d'une cérémonie. C'était le 14 juillet 2020 à Fort-de-France.
Deux jeunes anciennes élèves du lycée centre sud de Ducos entonnent la Marseillaise. Leurs voix brisent le silence et rassemblent les hommes, badauds, politiques, militaires, sapeurs-pompiers, corps préfectoral, anciens combattants et portes-drapeaux. Au micro, Mélodie Tarrieu et Clarys Montel offrent à la foule ce moment presque emprunt de légèreté sur un hymne national aux paroles guerrières.
Un peu plus tard, des élèves du module d'excellence du lycée Schoelcher vont déclamer un texte composé par le Golden Star en 1939.
Ils lisent un extrait du journal intime d'Alexandre Bonbois, martiniquais né à Case-Pilote. Mobilisé en septembre 1939, fait prisonnier par les allemands pendant quatre ans, il s'évade et est démobilisé le 23 janvier 1946. Il est décédé le 25 décembre 2009.
Un deuxième texte sera lu : un article de Ferriez-Elisabeth, directeur et fondateur du journal "Le Sportif" paru le 24 juillet 1943.
Pas de défilé mais une cérémonie emprunte de symboles
Après le dépôt de gerbes par le colonel Cotard, adjoint interarmées représentant le contre-amiral Jean Hausermann commandant supérieur des forces armées aux Antilles, puis par le maire de Fort-de-France Didier Laguerre, Miguel Laventure représentant l'exécutif de la CTM (Collectivité territoriale de Martinique) et le préfet de la Martinique Stanislas Cazelles.
Pas de défilé cette année pour cause de crise sanitaire mais une cérémonie sobre et emprunte de symboles représentées par les jeunes cadets de la défense du collège Julia Nicolas, du collège Roger Castendet à Fort-de-France et du collège Belle Étoile à Saint-Joseph.
À leurs côtés, des anciens combattants, des hommes engagés pour la France. Une union intergénérationnelle le temps d'une cérémonie. C'était le 14 juillet 2020 à Fort-de-France.