Ils ont mis le feu à leur voilier pour détruire, en vain, la drogue. Deux hommes, qui transportaient 1,5 tonne de cocaïne au large de la Martinique, ont été interpellés dans la nuit du 19 juillet par les douanes françaises. La drogue saisie représente une valeur de 60 millions d'euros à la revente.
Les douanes ont interpellé la semaine dernière un voilier au large de la Martinique, qui transportaient 1,5 tonne de cocaïne. Les deux suspects, à bord du bateau, ont été interpellés dans le cadre d'une enquête confiée par la Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Fort-de-France à l'antenne locale de l'Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS). La drogue saisie représente une valeur de 60 millions d'euros à la revente.
Dans la nuit du 19 juillet, la vedette des douanes de Saint-Martin repére un bateau suspecté de se livrer à un trafic de stupéfiants. Les mauvaises conditions de mer empêchent le contrôle à bord du skipper et de son équipier, qui acceptent de suivre les douaniers jusqu'à Saint-Martin.
Le lendemain matin, à 10H00, les deux hommes décident cependant de mettre le feu à leur voilier et se réfugient sur leur radeau de survie. La frégate Germinal de la Marine Nationale arrive à circonscrire l'incendie. Les douaniers découvrent la marchandise conditionnée dans des sacs plastifiés.
Images : Préfecture Martinique et Douanes
Cette saisie est le fruit de "l'exploitation d'informations recueillies par la direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières (DNRED) et en particulier son unité de Fort-de-France", cette saisie "couronne une enquête de plusieurs mois", se félicite dans un communiqué Gérald Darmanin, ministre de l'Action et des Comptes publics.
Le lendemain matin, à 10H00, les deux hommes décident cependant de mettre le feu à leur voilier et se réfugient sur leur radeau de survie. La frégate Germinal de la Marine Nationale arrive à circonscrire l'incendie. Les douaniers découvrent la marchandise conditionnée dans des sacs plastifiés.
Cette saisie est le fruit de "l'exploitation d'informations recueillies par la direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières (DNRED) et en particulier son unité de Fort-de-France", cette saisie "couronne une enquête de plusieurs mois", se félicite dans un communiqué Gérald Darmanin, ministre de l'Action et des Comptes publics.