Selon Jérémie Assous, avocat de la famille Babin, Les images fournies à la justice par la production de "Koh-Lanta" s'arrêteraient au moment du malaise de Gérald Babin.
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L'interview de Jerémie Assous (Outremer1ere)
Le point sur l'affaire avec Outremer1ere
ALP, la société productrice de Koh Lanta, a livré aux enquêteurs les images du tournage du 22 mars 2012, jour de la mort de Gérald Babin. Des images qui, selon Franck Firmin-Guion, PDG de la société, démontreraient que "toutes les règles de sécurité ont été respectées".
Pourtant, selon Maître Jérémie Assous, les rushes de l'émission seraient incomplets et l'intervention du médecin ne figurerait pas sur les enregistrements, qui s'arrêteraient au moment même ou le candidat martiniquais était pris de crampes. "Il est impossible qu'ils aient cessé l'enregistrement" a déclaré l'acocat de la famille Babin. "Si la société de production avait agi conformément aux règles et à la loi, elle se serait empressée de communiquer l'intégralité de l'enregistrement. Si la partie de l'enregistrement relative à l'intervention médicale et à l'évacuation a été détruite, nous demanderons à ce que le ministère public et le juge d'instruction qui va être désigné en tirent toutes les conséquences" poursuit-il.
ALP de son côté indique que 50 heures de rushes comprenant l'intervention du docteur ont bien été transmis à la justice et que "Cette mise en cause s'inscrit dans la continuité du climat délétère qui a conduit à la mort du docteur Thierry Costa."
Itw Jeremie Assous
Le point sur l'affaire avec Outremer1ere
ALP, la société productrice de Koh Lanta, a livré aux enquêteurs les images du tournage du 22 mars 2012, jour de la mort de Gérald Babin. Des images qui, selon Franck Firmin-Guion, PDG de la société, démontreraient que "toutes les règles de sécurité ont été respectées".
Pourtant, selon Maître Jérémie Assous, les rushes de l'émission seraient incomplets et l'intervention du médecin ne figurerait pas sur les enregistrements, qui s'arrêteraient au moment même ou le candidat martiniquais était pris de crampes. "Il est impossible qu'ils aient cessé l'enregistrement" a déclaré l'acocat de la famille Babin. "Si la société de production avait agi conformément aux règles et à la loi, elle se serait empressée de communiquer l'intégralité de l'enregistrement. Si la partie de l'enregistrement relative à l'intervention médicale et à l'évacuation a été détruite, nous demanderons à ce que le ministère public et le juge d'instruction qui va être désigné en tirent toutes les conséquences" poursuit-il.
ALP de son côté indique que 50 heures de rushes comprenant l'intervention du docteur ont bien été transmis à la justice et que "Cette mise en cause s'inscrit dans la continuité du climat délétère qui a conduit à la mort du docteur Thierry Costa."