Originaire de Guemps, près de Calais, Richard Thibaut, le patron de l'entreprise éponyme, a vendu son outil de traitement de la canne à sucre aux Rhums Saint-James à Sainte-Marie. Il l'appelle "la machine automoteur à pulvérisation".
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Une idée originale et unique en France puisque les ingénieurs ont ajouté une chenille sous un dumper avec cabine. Ils l'ont conçue dans les ateliers de Guemps et la machine a été construite au Japon par un fabricant français. À l'arrière, les rampes de pulvérisation viennent de Beaurainville dans le Pas-de-Calais. L'automoteur à chenille mesure 3,50 m de haut, 4 m de long et pèse 5 tonnes. Un espace d'1,80 m permet le passage de la canne à sucre sans l'écraser. Son prix s'élève à 170 000 euros.
L'entreprise de 10 millions d'euros de chiffre d'affaires a bien su retenir l'attention en Martinique. La machine permettra de pulvériser des herbicides au pied des cannes à sucre. "Elle est sur place et est déjà opérationnelle", confirme un des techniciens de l'exploitation de Sainte-Marie.
source : C.T La voix du nord
Un chiffre d'affaires de 10 millions d'euros
"Notre machine a une surface plus grande qu'un pneumatique, la pression au sol est donc plus faible et elle s'embourbe moins", a indiqué Richard Thibaut. C'est ce qu'il faut en Martinique où les terrains de canne à sucre sont pentus et humides.L'entreprise de 10 millions d'euros de chiffre d'affaires a bien su retenir l'attention en Martinique. La machine permettra de pulvériser des herbicides au pied des cannes à sucre. "Elle est sur place et est déjà opérationnelle", confirme un des techniciens de l'exploitation de Sainte-Marie.
source : C.T La voix du nord