Les patrons des stations-service doivent payer à leurs employés des arriérés de salaire en vertu d'un accord signé en 2009. Les patrons viennent de demander aux salariés d'attendre encore car certains d'entre eux ne seraient pas en mesure de respecter leurs engagements.
En 2009, patrons et salariés des stations-service ont signé un accord pour la revalorisation des salaires dans le secteur et surtout le paiement d'arriérés de salaires pour la période comprise entre 2004 et 2009. Pour des raisons diverses, la chambre syndicale des gérants repousse cet engagement depuis plusieurs années.
Aujourd'hui, les gérants demandent à leurs salariés d'attendre encore trois mois. Ils constatent que certains de leurs collègues sont en grande difficulté au point d'envisager l'arrêt de leur activité."Nous avons suffisamment attendu", protestent les salariés proches de la CGTM. Leur porte-parole, Gabriel Jean-Marie déclare : "Les salariés des stations-service qui ne perçoivent pas de salaires mirobolants, exigent d'être payé tout de suite".
La CGTM invite ses adhérents et sympathisants à une importante réunion lundi prochain afin d'arrêter une forme de protestation. Une réunion qui devrait se tenir sans l'UGTM, l'autre syndicat représentatif dans le secteur, qui n'appelle pas ses adhérents à la mobilisation...pour l'instant. Le commentaire de Cécile Marre et d'Olivier Nicolas Dit Duclos
Aujourd'hui, les gérants demandent à leurs salariés d'attendre encore trois mois. Ils constatent que certains de leurs collègues sont en grande difficulté au point d'envisager l'arrêt de leur activité."Nous avons suffisamment attendu", protestent les salariés proches de la CGTM. Leur porte-parole, Gabriel Jean-Marie déclare : "Les salariés des stations-service qui ne perçoivent pas de salaires mirobolants, exigent d'être payé tout de suite".
La CGTM invite ses adhérents et sympathisants à une importante réunion lundi prochain afin d'arrêter une forme de protestation. Une réunion qui devrait se tenir sans l'UGTM, l'autre syndicat représentatif dans le secteur, qui n'appelle pas ses adhérents à la mobilisation...pour l'instant. Le commentaire de Cécile Marre et d'Olivier Nicolas Dit Duclos