Les étudiants de Martinique manifestent pour la troisième journée consécutive contre le protocole d'accord signé en Guyane, qui provoque la partition de l'université. Les principaux élus politiques interpellent le gouvernement.
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Après deux jours de coup de force, au sein des principales institutions de l'île, les étudiants adoptent une stratégie plus pédagogique. Ils sont mobilisés depuis l'annonce d'un accord sur le campus de Guyane qui prévoit la création d'une université de plein exercice. Ils expliquent à la population les conséquences de cette décision sur leur avenir.
Suite à la forte mobilisation de la communauté universitaire du pôle Martinique de l’UAG, les principaux élus de l'île signent une motion : Sénateurs, députés, maires, présidents de collectivités de la Martinique, redoutent les conséquences de la séparation d'avec la Guyane et demandent au gouvernement de ne rien décider avant une réunion prévue le 21 novembre à Paris en présence des parlementaires martiniquais et de la présidente de l'UAG.
Suite à la forte mobilisation de la communauté universitaire du pôle Martinique de l’UAG, les principaux élus de l'île signent une motion : Sénateurs, députés, maires, présidents de collectivités de la Martinique, redoutent les conséquences de la séparation d'avec la Guyane et demandent au gouvernement de ne rien décider avant une réunion prévue le 21 novembre à Paris en présence des parlementaires martiniquais et de la présidente de l'UAG.