Le désarroi des martiniquais

Longues files d'attente devant les stations-service, ici à Fort de France.
Pas d'avancée dans le conflit, les gérants attendent toujours des assurances de Paris. Pendant ce temps, les quelques stations-service ouvertes n'ont plus beaucoup de carburant car la raffinerie ne livre que les stations réquisitionnées par la préfecture.
Le point de William Zebina dans le journal de la mi-journée :