Guy Georges, le tueur en série parisien, a violé et égorgé sept jeunes femmes entre 1991 et 1998 dans la capitale française. Son histoire est portée à l'écran, cinq ans avant la fin de sa peine de prison
Guy Georges, le tueur en série a violé et égorgé sept jeunes femmes entre 1991 et 1998 à Paris. Son histoire fait l'objet d'un film sobre et réaliste qui raconte sa traque. Cette traque est aujourd'hui portée à l'écran dans le film "L'affaire SK1", dans les salles le 7 janvier, réalisé par Frédéric Tellier. Le film est inspiré du livre de la journaliste de Libération Patricia Tourancheau, "La Traque".
L'homme a créé pendant sept ans, une authentique psychose dans l'est parisien. Entre janvier 1991, son premier crime et mars 1998, son arrestation, Guy Georges a mobilisé plus de 4 OOO policiers. À chaque fois le tueur utilise la même méthode, il s'introduit de force dans l'immeuble ou le parking. Les jeunes femmes sont retrouvées dénudées, violées, tuées à l'arme blanche.
Le père d'une des victimes a vu le film. Même s'il ravive des douleurs il le juge nécessaire pour resituer l'affaire dans son contexte scientifique des années 90. "Il n'y avait pas l'ADN et le fichier ADN a été créé grâce à Guy Georges", dit-il. Le tueur de l'est parisien est libérable dans cinq ans.
L'homme a créé pendant sept ans, une authentique psychose dans l'est parisien. Entre janvier 1991, son premier crime et mars 1998, son arrestation, Guy Georges a mobilisé plus de 4 OOO policiers. À chaque fois le tueur utilise la même méthode, il s'introduit de force dans l'immeuble ou le parking. Les jeunes femmes sont retrouvées dénudées, violées, tuées à l'arme blanche.
"Le fichier ADN a été créé grâce à Guy Georges"
Le père d'une des victimes a vu le film. Même s'il ravive des douleurs il le juge nécessaire pour resituer l'affaire dans son contexte scientifique des années 90. "Il n'y avait pas l'ADN et le fichier ADN a été créé grâce à Guy Georges", dit-il. Le tueur de l'est parisien est libérable dans cinq ans.