Le 11 janvier 1934, le corps ligoté du journaliste André Aliker était retrouvé sur la plage de Fond-Bourlet à Case-Pilote. Ce dimanche matin la commune de Case-Pilote et le journal justice ont commémoré cet événement.
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Une trentaine de personnes ce dimanche matin à Case-Pilote pour honorer la mémoire d'André Alker, tué le 11 janvier 1934 et retrouvé sur la plage de Fond-Bourlet. Certains arboraient un tee shirt très tendance : "Je suis Aliker".
Un tableau a été présenté par Jeanne Clément chargée de la culture à la mairie de Case-Pilote qui fait le parallèle entre l'assassinat d’André Aliker et l'exécution des journalistes de Charlie Hebdo cette semaine à Paris.
André Aliker, tué pour avoir dénoncé des malversations d'un industriel en 1934, la rédaction de Charlie hebdo décimée par des terroristes à Paris. "C'est bien la liberté de la presse et le respect des valeurs républicaines dont il est question", n'hésitent pas à dire certains participants. A l'occasion de cette journée, la commune de Case-Pilote qui après la dénomination de la rue André Aliker à Fond-Bourlet, entend créer sur le site un espace consacré au journaliste sous forme de stèle ou de musée. La municipalité tente de récupérer le site actuellement occupé par la Fol (Fédération des Ouvres Laïques).
André Aliker, tué pour avoir dénoncé des malversations d'un industriel en 1934, la rédaction de Charlie hebdo décimée par des terroristes à Paris. "C'est bien la liberté de la presse et le respect des valeurs républicaines dont il est question", n'hésitent pas à dire certains participants. A l'occasion de cette journée, la commune de Case-Pilote qui après la dénomination de la rue André Aliker à Fond-Bourlet, entend créer sur le site un espace consacré au journaliste sous forme de stèle ou de musée. La municipalité tente de récupérer le site actuellement occupé par la Fol (Fédération des Ouvres Laïques).