L'indice de la qualité de l'air est de 10, le plus haut degré mesuré par Madinin'air ce mardi (28 avril) sur toute lîle. Face à cette situation, la procédure d’alerte est maintenue pour le deuxième jour consécutif. Tout le monde est gêné...
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La brume de sable venue du Sahara est si importante qu'elle ne peut échapper à personne. L'indice de la qualité de l'air est de 10, le plus haut degré mesuré par Madinin'air ce mardi (28 avril) sur toute lîle. Face à cette situation, la procédure d’alerte est maintenue pour le deuxième jour consécutif. Tout le monde est gêné, même ceux qui sont en bonne santé.
Une mauvaise qualité de l'air due à la brume de sable saharienne dense mais également à l’activité humaine du fait de la combustion d’énergie fossile, du transport automobile et des activités industrielles. La population la plus sensible : personnes âgées, enfants, malades de l'asthme ou qui souffrent d'allergies, est particulièrement touchée. "Il est important de reporter ses pratiques habituelles", insiste Gaëlle Grataloup, chargée de communication de Madinin'air.
Nous sommes de plus en plus nombreux à nous gratter les yeux, la gorge, le nez, même ceux qui sont en bonne santé. "Dans un premier temps, c'est de l'irritation après, ces irritations se développent de façon plus aiguë", confirme le docteur Anne Criquet-Hayot.
Une mauvaise qualité de l'air due à la brume de sable saharienne dense mais également à l’activité humaine du fait de la combustion d’énergie fossile, du transport automobile et des activités industrielles. La population la plus sensible : personnes âgées, enfants, malades de l'asthme ou qui souffrent d'allergies, est particulièrement touchée. "Il est important de reporter ses pratiques habituelles", insiste Gaëlle Grataloup, chargée de communication de Madinin'air.
Recommandations médicales
Les autorités recommandent d'éviter toutes les activités physiques et sportives qui augmentent le volume d’air et la quantité de poussières inhalée, et notamment éviter de pratiquer ces activités à proximité des axes routiers.Nous sommes de plus en plus nombreux à nous gratter les yeux, la gorge, le nez, même ceux qui sont en bonne santé. "Dans un premier temps, c'est de l'irritation après, ces irritations se développent de façon plus aiguë", confirme le docteur Anne Criquet-Hayot.