En ce 1er mai, fête des travailleurs, une salariée, auxiliaire de vie à l’association CAD HOME depuis 5 ans, a décidé de se mettre en grève de la faim devant le siège de l’association à Schoelcher. Elle dénonce une procédure de licenciement qu’elle juge abusive.
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En ce 1er mai, fête des travailleurs, Annick Edgard, auxiliaire de vie à l’association CAD HOME depuis 5 ans, a décidé de se mettre en grève de la faim devant le siège de l’association à Schoelcher. Elle dénonce une procédure de licenciement qu’elle juge abusive.
Selon ses propos, elle était en pleine activité chez l’un des adhérents de l’association lorsqu'elle a reçu un appel de sa direction l’invitant à quitter son emploi. Une procédure qu’elle juge inconcevable et abusive, d’où cette grève de la faim entamée ce vendredi matin devant le siège de l'association à la cité Ozanam à Bâtelière Schoelcher.
Elle s'explique, au bord des larmes, face à Pedro Monnerville et entend aller jusqu'au bout de cette action.
Annick Edgard, est soutenue par Dominique Prebost, une autre collègue, elle même licenciée depuis trois mois pour des motifs plus ou moins flous selon elle.
L'association CAD HOME est une association non lucrative de type loi 1901, qui emploie des travailleurs sociaux pour l'aide à domicile sur l'ensemble de l'île. Pas de réaction de la direction pour l'instant.
Selon ses propos, elle était en pleine activité chez l’un des adhérents de l’association lorsqu'elle a reçu un appel de sa direction l’invitant à quitter son emploi. Une procédure qu’elle juge inconcevable et abusive, d’où cette grève de la faim entamée ce vendredi matin devant le siège de l'association à la cité Ozanam à Bâtelière Schoelcher.
Elle s'explique, au bord des larmes, face à Pedro Monnerville et entend aller jusqu'au bout de cette action.
Annick Edgard
Soutien Dominique