Ce samedi (9 mai) à Schoelcher, le chef de l'État a attiré l'attention de la communauté internationale sur les effets du réchauffement climatique dans la Caraïbe à l'ouverture de cet exceptionnel sommet international sur le climat.
François Hollande a réitéré, ce samedi 9 mai de Madiana, à Schoelcher, un appel destiné à attirer l'attention de la communauté internationale sur les effets du réchauffement climatique dans la Caraïbe. "Je veux lancer avec vous l'appel de Fort de France (Schoelcher, ndlr) et qu'il soit entendu", a-t-il déclaré à l'ouverture du sommet international : Caraïbe Climat 2015 qui rassemble plusieurs chefs d'État et de gouvernement de la région.
"70% des catastrophes naturelles dans le monde sont liées au dérèglement climatique, soit deux fois plus qu'il y a 20 ans", explique dans son discours François Hollande, selon lequel "le pire est à venir ! Face à ce constat, la résignation ne peut être de mise". Évoquant la COP 21, qui se tiendra en décembre prochain à Paris, comme le "rendez-vous de la dernière chance", le Président de la République l'a assuré : "Nous savons bien que si nous laissons passer cette opportunité, il y a aura une aggravation des conditions pour réussir un futur compromis". François Hollande en est également convenu: "La France seule ne pourra parvenir à un accord. Mais la France auprès des grands pays, États-Unis, Chine, Union européenne, peut avoir des alliés loyaux sincères parce qu'eux-mêmes directement concernés". Présentant "la constitution d'un fonds vert qui pourrait dégager 100 milliards de dollars par an à partir de 2020 " comme "l'engagement le plus important", le chef de l'État s'est aussi prononcé pour le renforcement et l'extension du fonds caraïbe pour les catastophes naturelles.
"70% des catastrophes naturelles dans le monde sont liées au dérèglement climatique, soit deux fois plus qu'il y a 20 ans", explique dans son discours François Hollande, selon lequel "le pire est à venir ! Face à ce constat, la résignation ne peut être de mise". Évoquant la COP 21, qui se tiendra en décembre prochain à Paris, comme le "rendez-vous de la dernière chance", le Président de la République l'a assuré : "Nous savons bien que si nous laissons passer cette opportunité, il y a aura une aggravation des conditions pour réussir un futur compromis". François Hollande en est également convenu: "La France seule ne pourra parvenir à un accord. Mais la France auprès des grands pays, États-Unis, Chine, Union européenne, peut avoir des alliés loyaux sincères parce qu'eux-mêmes directement concernés". Présentant "la constitution d'un fonds vert qui pourrait dégager 100 milliards de dollars par an à partir de 2020 " comme "l'engagement le plus important", le chef de l'État s'est aussi prononcé pour le renforcement et l'extension du fonds caraïbe pour les catastophes naturelles.