Le Maloya de la Réunion (en 2009) et le Gwoka guadeloupéen (2014) sont inscrits au patrimoine culturel immatériel de l'Unesco. Pourquoi pas le bèlè ?
Ces dernières années, la pratique du bèlè s'est très largement développée : les cours font le plein et attirent même les plus jeunes. Du coup les adeptes attendent une reconnaissance officielle de ce qui pourrait être un atout touristique majeur. Cela pourrait passer par le classement par l'Unesco au patrimoine culturel immatériel. Y a-t-il du répondant au niveau des instances ? C'est le sujet de ce dossier signé Dominique Legros et François Marlin :